Les populations de la région des Grands Ponts ont célébré et honoré, samedi à Jacqueville, la Grande Chancelière Henriette Diabaté, à la faveur de la fête des mères.
A l’initiative des cadres et élus de la région qui regroupe les départements de Dabou (chef-lieu), Grand-Lahou et Jacqueville, Pr Henriette Dagri Diabaté (85 ans), fille de la région a été magnifiée en présence de présidents d’institution et de plusieurs membres du gouvernement.
Pour respecter la tradition d’honorer la mère, «celle qui depuis tous le temps des civilisations est la personne la plus importante de la famille car porteuse de vie», dira le Secrétaire d’État auprès du Premier ministre chargé de l’investissement privé, Emmanuel Essis Esmel, porte-parole des élus et cadres.
Rappelant l’origine de la fête des mères, M. Essis a souligné que «la réconciliation, la paix et la cohésion sociale passent par les femmes et donc célébrer cette fête, c’est célébrer l’amour maternel, l’amour universel au service de la paix », s’est-il adressé aux «mamans et femmes des Grands Ponts » réunis autour de Pr Henriette Diabaté qui donne «un bel exemple d’union et de cohésion ».
« Vous êtes pour nous en cette circonstance, le symbole de la mère. La générosité du cœur, de la cohésion sociale et du don de soi », a-t-il poursuivi en parlant de la Grande Chancelière.
Pour la ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kandia Camara, marraine de la cérémonie, « célébrer la mère (...) c’est faire droit à un ensemble d’obligations que nous imposent le devoir d’équité et de justice sociale ».
A l’endroit de Mme Diabaté, son mentor, la ministre Kandia Camara n’a pas tari d’éloges.
« Madame la Grande Chancelière est incontestablement, celle qui a guidé mes pas dans l’arène politique du Rassemblement des Républicains avant et après l’accession à la Magistrature suprême de notre leader, Alassane Ouattara », a rappelé, émue, Kandia Camara, désormais membre de la Génération Ko To Kro Kro dans le respect des lois, us et coutumes de la région avec pour nom de baptême Dohun.
Selon elle, « aucun observateur de notre vie nationale ne se lasse d’écouter, pour l’alimenter, la prose des éloges que vous méritez si bien. Aux yeux de l’Etat, de la République, de la Démocratie, de la Paix, idéaux qui fondent l’Houphouëtisme, vous êtes le modèle achevé de la combativité, de la loyauté et de la rigueur », a-t-elle apprécié pour conclure qu’Henriette Diabaté est « un pont vivant entre le passé, le présent et l’avenir ».
Avant elle, le maire de Jacqueville, Joachin Beugré, a mis l’accent sur la « cohésion » autour de « celle qui incarne les valeurs d’amour, d’humilité, de sagesse, la première des mamans des Grands Ponts, notre maman à tous, Mme Henriette Dagri Diabaté ».
Au nom du président de la cérémonie, le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly, Albert Toikeusse Mabri, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a salué « une femme de grande valeur, charmante malgré le poids des ans, qui force l’admiration de tous ».
Profondément touchée par tant d’égards, l’heureuse distinguée en compagnie de douze autres mamans de la région, a remercié les initiateurs.
«Bien que dans nos us et coutumes, dans nos sociétés ce n’est pas à une doyenne de prendre la parole devant une telle assistance, je le fais pour vous dire merci et pour marquer à quel point nous sommes touchées et fières », s’est réjouie Pr Henriette Dagri Diabaté.
La Grande Chancelière a profité de l’occasion pour exhorter les femmes des Grands Ponts au travail.
«Travaillez pour renforcer votre autonomisation, à la fois civile et économique (…) vous êtes des agents de stabilité pour notre société et des agents de développement pour notre pays », a-t-elle dit en les invitant à « porter une attention soutenue à l’éducation des enfants ».
« En tant que femme, notre voix compte dans la recherche de la paix, de l’entente, de la solidarité pour que la cohésion sociale ne soit pas des mots sans consistance mais des mots remplis de substance, d’amour et de respect pour autrui » a recommandé Mme Diabaté qui a reçu des présents des populations de la région.
A l’initiative des cadres et élus de la région qui regroupe les départements de Dabou (chef-lieu), Grand-Lahou et Jacqueville, Pr Henriette Dagri Diabaté (85 ans), fille de la région a été magnifiée en présence de présidents d’institution et de plusieurs membres du gouvernement.
Pour respecter la tradition d’honorer la mère, «celle qui depuis tous le temps des civilisations est la personne la plus importante de la famille car porteuse de vie», dira le Secrétaire d’État auprès du Premier ministre chargé de l’investissement privé, Emmanuel Essis Esmel, porte-parole des élus et cadres.
Rappelant l’origine de la fête des mères, M. Essis a souligné que «la réconciliation, la paix et la cohésion sociale passent par les femmes et donc célébrer cette fête, c’est célébrer l’amour maternel, l’amour universel au service de la paix », s’est-il adressé aux «mamans et femmes des Grands Ponts » réunis autour de Pr Henriette Diabaté qui donne «un bel exemple d’union et de cohésion ».
« Vous êtes pour nous en cette circonstance, le symbole de la mère. La générosité du cœur, de la cohésion sociale et du don de soi », a-t-il poursuivi en parlant de la Grande Chancelière.
Pour la ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kandia Camara, marraine de la cérémonie, « célébrer la mère (...) c’est faire droit à un ensemble d’obligations que nous imposent le devoir d’équité et de justice sociale ».
A l’endroit de Mme Diabaté, son mentor, la ministre Kandia Camara n’a pas tari d’éloges.
« Madame la Grande Chancelière est incontestablement, celle qui a guidé mes pas dans l’arène politique du Rassemblement des Républicains avant et après l’accession à la Magistrature suprême de notre leader, Alassane Ouattara », a rappelé, émue, Kandia Camara, désormais membre de la Génération Ko To Kro Kro dans le respect des lois, us et coutumes de la région avec pour nom de baptême Dohun.
Selon elle, « aucun observateur de notre vie nationale ne se lasse d’écouter, pour l’alimenter, la prose des éloges que vous méritez si bien. Aux yeux de l’Etat, de la République, de la Démocratie, de la Paix, idéaux qui fondent l’Houphouëtisme, vous êtes le modèle achevé de la combativité, de la loyauté et de la rigueur », a-t-elle apprécié pour conclure qu’Henriette Diabaté est « un pont vivant entre le passé, le présent et l’avenir ».
Avant elle, le maire de Jacqueville, Joachin Beugré, a mis l’accent sur la « cohésion » autour de « celle qui incarne les valeurs d’amour, d’humilité, de sagesse, la première des mamans des Grands Ponts, notre maman à tous, Mme Henriette Dagri Diabaté ».
Au nom du président de la cérémonie, le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly, Albert Toikeusse Mabri, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a salué « une femme de grande valeur, charmante malgré le poids des ans, qui force l’admiration de tous ».
Profondément touchée par tant d’égards, l’heureuse distinguée en compagnie de douze autres mamans de la région, a remercié les initiateurs.
«Bien que dans nos us et coutumes, dans nos sociétés ce n’est pas à une doyenne de prendre la parole devant une telle assistance, je le fais pour vous dire merci et pour marquer à quel point nous sommes touchées et fières », s’est réjouie Pr Henriette Dagri Diabaté.
La Grande Chancelière a profité de l’occasion pour exhorter les femmes des Grands Ponts au travail.
«Travaillez pour renforcer votre autonomisation, à la fois civile et économique (…) vous êtes des agents de stabilité pour notre société et des agents de développement pour notre pays », a-t-elle dit en les invitant à « porter une attention soutenue à l’éducation des enfants ».
« En tant que femme, notre voix compte dans la recherche de la paix, de l’entente, de la solidarité pour que la cohésion sociale ne soit pas des mots sans consistance mais des mots remplis de substance, d’amour et de respect pour autrui » a recommandé Mme Diabaté qui a reçu des présents des populations de la région.