Abidjan- La Confédération des organisations de victimes de la crise ivoirienne (COVICI) plaide pour qu’une journée nationale de commémoration et de pardon soit urgemment décrétée afin de booster le processus de consolidation durable de la paix.
S’exprimant, mercredi, lors d'une conférence de presse trimestrielle, au siège de l’organisation à Cocody, Deux-plateaux, le président de la COVICI, Kanté Lassina, a également plaidé pour que les points focaux dans les préfectures soient fournis en moyens matériels et financiers pour travailler efficacement sur les dossiers des victimes.
M. Kanté a souhaité que la question des groupes de victimes associées soient sérieusement adressée pour ne pas que des victimes qui ont scrupuleusement suivi les consignes quant à la démarche à suivre pour avoir réparation, soient volontairement exclues du processus.
Il a également réitéré le vœu de l’adoption d’un avant-projet de loi sur le statut des victimes et les modalités de réparations par l’assemblée législative correspondante.
La COVICI appelle la direction d’aide et d’assistance aux réfugiés et apatrides (DAARA) à mieux communiquer autour des mécanismes de prise en charge des rapatriés. Tout en souhaitant travailler en collaboration avec elle afin de mieux relayer les informations en lien avec ces mécanismes.
Cette troisième conférence de presse s'inscrivait dans le cadre des activités du projet de renforcement de la société civile et des victimes pour la demande et de la gestion de réparation mises en œuvre depuis août 2018, par la COVICI avec l’appui technique du Centre international pour la justice transitionnelle (ICTJ) et financier de la fondation caritative Trust Africa.
bsb/fmo
S’exprimant, mercredi, lors d'une conférence de presse trimestrielle, au siège de l’organisation à Cocody, Deux-plateaux, le président de la COVICI, Kanté Lassina, a également plaidé pour que les points focaux dans les préfectures soient fournis en moyens matériels et financiers pour travailler efficacement sur les dossiers des victimes.
M. Kanté a souhaité que la question des groupes de victimes associées soient sérieusement adressée pour ne pas que des victimes qui ont scrupuleusement suivi les consignes quant à la démarche à suivre pour avoir réparation, soient volontairement exclues du processus.
Il a également réitéré le vœu de l’adoption d’un avant-projet de loi sur le statut des victimes et les modalités de réparations par l’assemblée législative correspondante.
La COVICI appelle la direction d’aide et d’assistance aux réfugiés et apatrides (DAARA) à mieux communiquer autour des mécanismes de prise en charge des rapatriés. Tout en souhaitant travailler en collaboration avec elle afin de mieux relayer les informations en lien avec ces mécanismes.
Cette troisième conférence de presse s'inscrivait dans le cadre des activités du projet de renforcement de la société civile et des victimes pour la demande et de la gestion de réparation mises en œuvre depuis août 2018, par la COVICI avec l’appui technique du Centre international pour la justice transitionnelle (ICTJ) et financier de la fondation caritative Trust Africa.
bsb/fmo