L’ODAPCI (Observatoire pour le développement, l’amitié et la prospérité de Côte d’ivoire), organise la deuxième édition du rassemblement des cadres du Lôh-Djiboua qui s’est déroulée samedi à Abidjan, autour du thème : « Echanges interactifs autour du développement participatif dans le Lôh-Djiboua ».
Le président de l’ODACI, initiateur de cette rencontre, Me Zéhouri Bertin, a convié la communauté de cadres résidents à Abidjan, la diaspora, la jeunesse et les chefs coutumiers et guides religieux, autour de la volonté d’échanger et de partager, leurs visions contributives pour le développement de la région du Lôh Djiboua.
L’objectif du porte Flambeau du développement a été de lancer un appel à l’implication de toutes les forces vives et les communautés du département de Divo pour créer un levier de lutte contre l’ignorance et son corollaire de pauvreté dans les zones rurales.
C’est par l’union de toutes ses filles et fils que le Lôh-Djiboua parviendra à la valorisation de ses valeurs et traditions mais surtout de ses ressources naturelles qui font de cette région un bastion du café-cacao et d’une pléthore de produits agricoles. Une alerte a été donnée quant à l’activité de plusieurs mines au détriment du bien-être des populations. La présence de ces mines affectent la couche phréatique et endommage le couvert végétal.
« Nous pourrons ainsi et également nous donner les moyens de changer la donne par les moyens de négociation avec les gouvernants et opérateurs économiques, la mise en place de pools de développement à travers les localités. Par l’initiation de projets de développement et le soutien de tous de ces projets, pour pouvoir combattre et éloigner les barrières de la pauvreté », a déclaré Zéhouri Bertin.
Cette rencontre a permis de recueillir les contributions des uns et des autres, qui à l’unisson ont fait le constat de l’enclavement des cantons et villages du Lôh-Djiboua, de l’entrepreneuriat et l’autonomisation des populations et surtout la division qui règne entre certaines autorités politiques.
Répondant à cette invitation à la cohésion régionale, le vice-président du Conseil régional du Lôh-Djiboua, le ministre Dja Blé, qui était d’un camp opposé pendant les élections du conseil régional au Flambeau du développement, à travers sa présence a donné un bel exemple de la notion de rassemblement apolitique autour du développement socioéconomique.
Le chef des chefs, Tegbo Aliko, avec fierté, a vanté les potentialités de sa région et exhorté les cadres à briser les chaînes de la division pour relever le défi du repositionnement de la région parmi celles qui émergent à l’échiquier national.
Cette prise de conscience et cet engagement a conduit le président de l’ODAPCI lancer à travers un vaste programme dénommé « Projet Permanent pour le Développement du Lôh-Djiboua, PPD-LD », qui se nourrit d’un objectif général à savoir initier et animer dans le Lôh-Djiboua des réseaux sociaux d’économies et de solidarité.
Cela va également s’accompagner de programmes de promotion humanitaire en vue d’impulser la construction d’une communauté vivante, organisée capable de produire des valeurs et des richesses, dans la perspective générale de la lutte contre la pauvreté et l’ignorance.
Pour sa part, le porte flambeau du développement, Zéhouri Bertin, ne se lasse de prôner le rassemblement de toutes les communautés et couches sociales pour l’émergence du Lôh-Djiboua. « Les dida ne doivent pas être les seuls à concevoir le développement du Lôh-Djiboua… »
JOB
Le président de l’ODACI, initiateur de cette rencontre, Me Zéhouri Bertin, a convié la communauté de cadres résidents à Abidjan, la diaspora, la jeunesse et les chefs coutumiers et guides religieux, autour de la volonté d’échanger et de partager, leurs visions contributives pour le développement de la région du Lôh Djiboua.
L’objectif du porte Flambeau du développement a été de lancer un appel à l’implication de toutes les forces vives et les communautés du département de Divo pour créer un levier de lutte contre l’ignorance et son corollaire de pauvreté dans les zones rurales.
C’est par l’union de toutes ses filles et fils que le Lôh-Djiboua parviendra à la valorisation de ses valeurs et traditions mais surtout de ses ressources naturelles qui font de cette région un bastion du café-cacao et d’une pléthore de produits agricoles. Une alerte a été donnée quant à l’activité de plusieurs mines au détriment du bien-être des populations. La présence de ces mines affectent la couche phréatique et endommage le couvert végétal.
« Nous pourrons ainsi et également nous donner les moyens de changer la donne par les moyens de négociation avec les gouvernants et opérateurs économiques, la mise en place de pools de développement à travers les localités. Par l’initiation de projets de développement et le soutien de tous de ces projets, pour pouvoir combattre et éloigner les barrières de la pauvreté », a déclaré Zéhouri Bertin.
Cette rencontre a permis de recueillir les contributions des uns et des autres, qui à l’unisson ont fait le constat de l’enclavement des cantons et villages du Lôh-Djiboua, de l’entrepreneuriat et l’autonomisation des populations et surtout la division qui règne entre certaines autorités politiques.
Répondant à cette invitation à la cohésion régionale, le vice-président du Conseil régional du Lôh-Djiboua, le ministre Dja Blé, qui était d’un camp opposé pendant les élections du conseil régional au Flambeau du développement, à travers sa présence a donné un bel exemple de la notion de rassemblement apolitique autour du développement socioéconomique.
Le chef des chefs, Tegbo Aliko, avec fierté, a vanté les potentialités de sa région et exhorté les cadres à briser les chaînes de la division pour relever le défi du repositionnement de la région parmi celles qui émergent à l’échiquier national.
Cette prise de conscience et cet engagement a conduit le président de l’ODAPCI lancer à travers un vaste programme dénommé « Projet Permanent pour le Développement du Lôh-Djiboua, PPD-LD », qui se nourrit d’un objectif général à savoir initier et animer dans le Lôh-Djiboua des réseaux sociaux d’économies et de solidarité.
Cela va également s’accompagner de programmes de promotion humanitaire en vue d’impulser la construction d’une communauté vivante, organisée capable de produire des valeurs et des richesses, dans la perspective générale de la lutte contre la pauvreté et l’ignorance.
Pour sa part, le porte flambeau du développement, Zéhouri Bertin, ne se lasse de prôner le rassemblement de toutes les communautés et couches sociales pour l’émergence du Lôh-Djiboua. « Les dida ne doivent pas être les seuls à concevoir le développement du Lôh-Djiboua… »
JOB