Depuis ce mardi 18 juin 2019 se tient au CERAP Abidjan Cocody, l’atelier de validation des plans d’aménagement et de gestion des parcs nationaux du Banco, du mont Sangbé et de la réserve de faune et de flore du Haut Bandama initié par l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves (OIPR).
L’objectif est de doter l’ensemble des aires protégées d’un plan d’aménagement et de gestion, participatif et conforme à la réglementation nationale en vigueur et aux standards internationaux en vue de leur gestion durable.
Il s’agit selon Tondossama Adama, Directeur général de l’OIPR de passer à la validation des documents de gestion. « Hier (mardi ndlr) nous avons fait pour le mont Sangbé, aujourd’hui nous faisons pour le parc national du Banco et demain (jeudi, ndlr) pour la réserve de faune et de flore du Haut Bandama » a-il indiqué.
« Cet outil de gestion permet de planifier les activités sur une dizaine d’années et cela donne les grandes orientations de gestion pour plusieurs fonctions dont la de gestion protection, la fonction d’aménagement, la fonction de valorisation touristique, la relation avec les populations riveraines, la fonction de recherche scientifique et suivi écologique et la fonction de management général » a-t-il expliqué.
En aménageant et en investissant à la création des circuits touristiques, des jeux, des routes, cela peut inciter la population à les visiter mais aussi, « Il faut sensibiliser les populations sur l’intérêt des parcs nationaux qui font partie de notre environnement, un bien à protéger. »
En réponse à la dégradation continue de sa diversité biologique, la Côte d’Ivoire a entrepris en 1995, avec l’appui des partenaires au développement, une réforme de la gestion des parcs nationaux et réserves naturelles (PNR). Ce processus a abouti à l’élaboration du programme Cadre de Gestion des aires Protégées (PCGAP) puis à l’adoption de la loi n°2002-102 du 11 février 2002 relative à la création, la gestion et au financement des PNR.
L’un des objectifs spécifiques visés par la réforme du secteur est d’adapter le service public aux impératifs actuels d’une gestion rationnelle, entre la nécessité d’adopter une approche participative qui concilie l’appui au développement local et la conservation des (PNR).
Les conclusions et déclarations de ses travaux seront disponibles le jeudi 20 juin 2019.
PR
L’objectif est de doter l’ensemble des aires protégées d’un plan d’aménagement et de gestion, participatif et conforme à la réglementation nationale en vigueur et aux standards internationaux en vue de leur gestion durable.
Il s’agit selon Tondossama Adama, Directeur général de l’OIPR de passer à la validation des documents de gestion. « Hier (mardi ndlr) nous avons fait pour le mont Sangbé, aujourd’hui nous faisons pour le parc national du Banco et demain (jeudi, ndlr) pour la réserve de faune et de flore du Haut Bandama » a-il indiqué.
« Cet outil de gestion permet de planifier les activités sur une dizaine d’années et cela donne les grandes orientations de gestion pour plusieurs fonctions dont la de gestion protection, la fonction d’aménagement, la fonction de valorisation touristique, la relation avec les populations riveraines, la fonction de recherche scientifique et suivi écologique et la fonction de management général » a-t-il expliqué.
En aménageant et en investissant à la création des circuits touristiques, des jeux, des routes, cela peut inciter la population à les visiter mais aussi, « Il faut sensibiliser les populations sur l’intérêt des parcs nationaux qui font partie de notre environnement, un bien à protéger. »
En réponse à la dégradation continue de sa diversité biologique, la Côte d’Ivoire a entrepris en 1995, avec l’appui des partenaires au développement, une réforme de la gestion des parcs nationaux et réserves naturelles (PNR). Ce processus a abouti à l’élaboration du programme Cadre de Gestion des aires Protégées (PCGAP) puis à l’adoption de la loi n°2002-102 du 11 février 2002 relative à la création, la gestion et au financement des PNR.
L’un des objectifs spécifiques visés par la réforme du secteur est d’adapter le service public aux impératifs actuels d’une gestion rationnelle, entre la nécessité d’adopter une approche participative qui concilie l’appui au développement local et la conservation des (PNR).
Les conclusions et déclarations de ses travaux seront disponibles le jeudi 20 juin 2019.
PR