Abidjan- Une table ronde sur les violences basées sur le genre s’est tenue, à l’initiative de l’Orchidée communication et du programme pays de renforcement des capacités de Côte d’Ivoire, en vue d’analyser les défis émergents en matière de dispositif institutionnel de prise en charge de ce phénomène social.
Vendredi, évoquant l’ampleur du phénomène, la représentante du ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, la Conseillère technique Awa Sylla, a indiqué qu’une enquête nationale, menée en Côte d’Ivoire par le cabinet Vac, avec l’appui de l’ambassade des Etats-Unis, a révélé que 57% de filles et 66% de garçons ont subi une forme de violence pendant leur enfance.
Il ressort également que les abus sexuels sont les plus répandus parmi ces violences basées sur le genre.
"C’est intolérable. C’est pourquoi, ces études sont un point de départ pour le gouvernement et les partenaires nationaux et internationaux ainsi que la société civile, pour définir les stratégies indiquées et mener des actions vigoureuses pour l’éradication des violences et abus à l’égard des enfants", a a déclaré Mme Awa Sylla.
Pour lutter contre le phénomène, la représentante du ministre a précisé qu’en outre de son adhésion aux instruments juridiques régionaux et internationaux en faveur des enfants, la Côte d’Ivoire a pris plusieurs mesures législatives et institutionnelles afin de créer un environnement propice au respect des droits des femmes, principalement leur droit à la santé, à la formation, à l’accès aux ressources et à la participation à la vie publique.
Cette rencontre a enregistré des représentants d’institutions et de ministères techniques, ainsi que des organisations d’intégration africaine, des chancelleries et des partenaires techniques et financiers.
Bsp/kp
Vendredi, évoquant l’ampleur du phénomène, la représentante du ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, la Conseillère technique Awa Sylla, a indiqué qu’une enquête nationale, menée en Côte d’Ivoire par le cabinet Vac, avec l’appui de l’ambassade des Etats-Unis, a révélé que 57% de filles et 66% de garçons ont subi une forme de violence pendant leur enfance.
Il ressort également que les abus sexuels sont les plus répandus parmi ces violences basées sur le genre.
"C’est intolérable. C’est pourquoi, ces études sont un point de départ pour le gouvernement et les partenaires nationaux et internationaux ainsi que la société civile, pour définir les stratégies indiquées et mener des actions vigoureuses pour l’éradication des violences et abus à l’égard des enfants", a a déclaré Mme Awa Sylla.
Pour lutter contre le phénomène, la représentante du ministre a précisé qu’en outre de son adhésion aux instruments juridiques régionaux et internationaux en faveur des enfants, la Côte d’Ivoire a pris plusieurs mesures législatives et institutionnelles afin de créer un environnement propice au respect des droits des femmes, principalement leur droit à la santé, à la formation, à l’accès aux ressources et à la participation à la vie publique.
Cette rencontre a enregistré des représentants d’institutions et de ministères techniques, ainsi que des organisations d’intégration africaine, des chancelleries et des partenaires techniques et financiers.
Bsp/kp