Abidjan- Une étude de faisabilité de valorisation des sous-produits, a été lancée, ce mardi, à Abidjan, par le directeur général de l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), Dr Sidiki Cissé, en présence des experts du cabinet WSP.
L’objectif de ce projet de valorisation des résidus agricoles est d’ajouter de la valeur aux déchets agricoles jusque-là abandonnés dans la nature tout en accroissant le revenu des producteurs sans compétition aucune avec leurs sous-produits agricoles, selon le directeur général de l’ANADER, Dr Sidiki Cissé.
Il a expliqué que la préoccupation de l’ANADER de valoriser les résidus et sous-produits agricoles est né du constat que sa structure a effectué en 2007, sur l’importance de ces déchets et leurs effets quelques fois néfastes.
Rassurant son partenaire financier SWDFUND, une institution financière de développement du Gouvernement Suédois, Dr Cissé a rappelé que cette étude est une opportunité pour l’ANADER et son partenaire SCANIA d’étudier le potentiel des résidus agricoles pour la production future de biocarburant en Côte d’Ivoire.
Pour sa part, le cabinet WSP recruté pour réaliser cette étude aura pour mission d’établir la faisabilité technique, économique et financière sur des chaînes de valeur durable pour la conversion des sous-produits agricoles en biocarburant.
Cette étude de faisabilité durera six mois et est prévue s’achever le 12 décembre, a-t-on appris.
Devenue en avril 1998 une société anonyme, l’ANADER a pour objet social d’assurer le conseil et la vulgarisation agricoles en Côte d’Ivoire. Ses missions sont, entre autres, de contribuer à l’amélioration des conditions de vie du monde rural par la professionnalisation des exploitants et des organisations professionnelles agricoles. Et ce, en concevant et en mettant en œuvre des outils et approches appropriés, des programmes adaptés pour assurer un développement durable et maîtrisé.
tg/fmo
L’objectif de ce projet de valorisation des résidus agricoles est d’ajouter de la valeur aux déchets agricoles jusque-là abandonnés dans la nature tout en accroissant le revenu des producteurs sans compétition aucune avec leurs sous-produits agricoles, selon le directeur général de l’ANADER, Dr Sidiki Cissé.
Il a expliqué que la préoccupation de l’ANADER de valoriser les résidus et sous-produits agricoles est né du constat que sa structure a effectué en 2007, sur l’importance de ces déchets et leurs effets quelques fois néfastes.
Rassurant son partenaire financier SWDFUND, une institution financière de développement du Gouvernement Suédois, Dr Cissé a rappelé que cette étude est une opportunité pour l’ANADER et son partenaire SCANIA d’étudier le potentiel des résidus agricoles pour la production future de biocarburant en Côte d’Ivoire.
Pour sa part, le cabinet WSP recruté pour réaliser cette étude aura pour mission d’établir la faisabilité technique, économique et financière sur des chaînes de valeur durable pour la conversion des sous-produits agricoles en biocarburant.
Cette étude de faisabilité durera six mois et est prévue s’achever le 12 décembre, a-t-on appris.
Devenue en avril 1998 une société anonyme, l’ANADER a pour objet social d’assurer le conseil et la vulgarisation agricoles en Côte d’Ivoire. Ses missions sont, entre autres, de contribuer à l’amélioration des conditions de vie du monde rural par la professionnalisation des exploitants et des organisations professionnelles agricoles. Et ce, en concevant et en mettant en œuvre des outils et approches appropriés, des programmes adaptés pour assurer un développement durable et maîtrisé.
tg/fmo