Lors de cette cérémonie le Ministre a invité les acteurs du système financier (les partenaires techniques et financiers), les acteurs du secteur privé, la société civile à s’approprier et contribuer à la mise en œuvre effective de la SNIF, afin d’atteindre l’objectif du gouvernement qui est de porter le taux d’inclusion, estimé à 40% en 2017, à 60 % d’ici à 2024.
« Il s’agit d’une réforme majeure du gouvernement qui permettra d’accélérer et de renforcer conformément aux instructions du Président de la République, Alassane Ouattara, la redistribution des richesses issues de la croissance économique forte que connait notre pays depuis 2012 », a fait savoir Bruno Koné.
En effet, la SNIF adoptée en conseil des ministres en mai 2018, traduit la vision du gouvernement de favoriser l’accès des populations aux produits et services financiers, notamment les populations dites vulnérables à travers l’élargissement de la gamme des produits financiers et leur adaptation aux attentes des populations.
Elle vient fédérer les réformes engagées par le gouvernement pour la mise en place d’un système financier performant et inclusif, et prévoit le renforcement des capacités des acteurs du secteur financier, la consolidation de la viabilité des systèmes financiers décentralisés, le développement plus accru des services financiers primaires.
Par ailleurs, le Ministre de l’Economie et des Finances, Adama Koné, nous fait savoir qu’en 2017, le taux de bancarisation strict était de 17% quand celui de la bancarisation élargi aux systèmes financiers décentralisés de 25%. A cette date, le taux global d’inclusion financière s’établissait à 41%.
A ce jour, l’écosystème financier ivoirien comprend 28 banques, deux établissements financiers à caractère bancaire, 50 institutions de micro finance et trois établissements offrant des services financiers via le téléphone mobile, a relevé le ministre de l’Economie et des Finances, Adama Koné.
Concernant la SNIF, il a noté que c’est l’aboutissement d’un processus rendu possible grâce à l’adhésion combinée de la BCEAO et de la Côte d’Ivoire au réseau de l’Alliance pour l’Inclusion Financière (AFI) ainsi qu’à la politique active menée par le gouvernement, à l’effet de promouvoir l’inclusion financière.
« Il s’agit d’une réforme majeure du gouvernement qui permettra d’accélérer et de renforcer conformément aux instructions du Président de la République, Alassane Ouattara, la redistribution des richesses issues de la croissance économique forte que connait notre pays depuis 2012 », a fait savoir Bruno Koné.
En effet, la SNIF adoptée en conseil des ministres en mai 2018, traduit la vision du gouvernement de favoriser l’accès des populations aux produits et services financiers, notamment les populations dites vulnérables à travers l’élargissement de la gamme des produits financiers et leur adaptation aux attentes des populations.
Elle vient fédérer les réformes engagées par le gouvernement pour la mise en place d’un système financier performant et inclusif, et prévoit le renforcement des capacités des acteurs du secteur financier, la consolidation de la viabilité des systèmes financiers décentralisés, le développement plus accru des services financiers primaires.
Par ailleurs, le Ministre de l’Economie et des Finances, Adama Koné, nous fait savoir qu’en 2017, le taux de bancarisation strict était de 17% quand celui de la bancarisation élargi aux systèmes financiers décentralisés de 25%. A cette date, le taux global d’inclusion financière s’établissait à 41%.
A ce jour, l’écosystème financier ivoirien comprend 28 banques, deux établissements financiers à caractère bancaire, 50 institutions de micro finance et trois établissements offrant des services financiers via le téléphone mobile, a relevé le ministre de l’Economie et des Finances, Adama Koné.
Concernant la SNIF, il a noté que c’est l’aboutissement d’un processus rendu possible grâce à l’adhésion combinée de la BCEAO et de la Côte d’Ivoire au réseau de l’Alliance pour l’Inclusion Financière (AFI) ainsi qu’à la politique active menée par le gouvernement, à l’effet de promouvoir l’inclusion financière.