Dans le but de promouvoir le suivi et évaluation dans la gente féminine et développer des compétences de femmes suivi-évaluatrices, une formation en suivi évaluation de femmes cadres a débuté ce samedi 13 juillet, au CAMPC (Centre africain de management et de perfectionnement des cadres) de l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody (Abidjan).
Sensible à la question du genre ainsi qu’au suivi évaluation, outil par excellence de bonne gouvernance, le CAMPC s’est engagé à offrir un accompagnement pour la formation du réseau professionnel féminin en suivi et évaluation, dénommé EVALWOMEN.
Représentant le Directeur général, le Directeur pédagogique du CAMPC, Célestin Yao a prouvé cet intérêt en présidant la cérémonie d’ouverture de cette formation en renforcement de capacités des membres d’EVALWOMEN.
Il a indiqué que dans son plan stratégique 2018-2022, le CAMPC œuvre au renforcement de son rôle dans la société, en soutenant des initiatives telles que la formation de ces femmes en suivi et évaluation, qui participe à la promotion du genre. Il leur a souhaité une bonne période de formation dont la première session sur neuf démarre ce jour.
La présidente du réseau EVALWOMEN, Koffi Hermance Cynthia, s’est quant à elle, réjouie de cette opportunité du CAMPC. « Vous permettrez à des femmes d’être plus dynamiques et opérationnelles en matière de suivi et évaluation des projets et programmes, leur facilitant une insertion socio-professionnelle », a-t-elle déclaré.
L’expert en suivi et évaluation, Adama Koné, qui est en charge d’assurer ce renforcement de capacités, a fait savoir que les modules de formation sont relatifs à la gestion de projets, la mise en œuvre et le fonctionnement d’un dispositif de suivi et évaluation.
Selon lui, cette formation a été motivée par le constat général de manque de proportionnalité au niveau des femmes et des hommes en matière de suivi et évaluation. « Très peu de femmes sont formées et expertes en suivi et évaluation », a-t-il affirmé.
Notons que cette formation a été lancée en présence de la représentante de la direction du contrôle du suivi et évaluation du ministère du Plan et du développement, Kouakou Adjoua, et du directeur du Centre d’enseignement à distance (CED), M. Yéo Metouhou, représentant du C2D.
Sensible à la question du genre ainsi qu’au suivi évaluation, outil par excellence de bonne gouvernance, le CAMPC s’est engagé à offrir un accompagnement pour la formation du réseau professionnel féminin en suivi et évaluation, dénommé EVALWOMEN.
Représentant le Directeur général, le Directeur pédagogique du CAMPC, Célestin Yao a prouvé cet intérêt en présidant la cérémonie d’ouverture de cette formation en renforcement de capacités des membres d’EVALWOMEN.
Il a indiqué que dans son plan stratégique 2018-2022, le CAMPC œuvre au renforcement de son rôle dans la société, en soutenant des initiatives telles que la formation de ces femmes en suivi et évaluation, qui participe à la promotion du genre. Il leur a souhaité une bonne période de formation dont la première session sur neuf démarre ce jour.
La présidente du réseau EVALWOMEN, Koffi Hermance Cynthia, s’est quant à elle, réjouie de cette opportunité du CAMPC. « Vous permettrez à des femmes d’être plus dynamiques et opérationnelles en matière de suivi et évaluation des projets et programmes, leur facilitant une insertion socio-professionnelle », a-t-elle déclaré.
L’expert en suivi et évaluation, Adama Koné, qui est en charge d’assurer ce renforcement de capacités, a fait savoir que les modules de formation sont relatifs à la gestion de projets, la mise en œuvre et le fonctionnement d’un dispositif de suivi et évaluation.
Selon lui, cette formation a été motivée par le constat général de manque de proportionnalité au niveau des femmes et des hommes en matière de suivi et évaluation. « Très peu de femmes sont formées et expertes en suivi et évaluation », a-t-il affirmé.
Notons que cette formation a été lancée en présence de la représentante de la direction du contrôle du suivi et évaluation du ministère du Plan et du développement, Kouakou Adjoua, et du directeur du Centre d’enseignement à distance (CED), M. Yéo Metouhou, représentant du C2D.