Reconnaissance ! Un mot qui mérite d’être salué, surtout quand il va à l’encontre de quelqu’un dont la valeur ne souffre d’aucun doute. Alassane Ouattara dont il s’agit, a été célébré le 27 juillet dernier à Ferkessédougou par les populations du grand nord, qui reconnaissent en lui des actions valeureuses de développement. Onze régions de la partie septentrionale de la Côte d’Ivoire dont : Le Tchologo, le Kabadougou, la Bagoué, le Poro, le folon, le Bafing, le Hambol, le Boukani, le Gontougou, le Béré et le Worodougou, se sont unies pour porter les bienfaits de l’homme en hommage. Car après leurs constats, elles se disent reconnaissantes des actions de bien-être et de développement accomplies par l’homme. Cette cérémonie, placée sous la présidence de son excellence Amadou Gon Coulibaly, premier ministre, ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, a été un intense moment dédié aux témoignages
Des actions constructives qui charment les populations.
Les différentes couches de la population présentes à cette rencontre chargée d’émotion ont exprimé le sens de cet hommage, qu’elles ont organisé en l’honneur du président du Rhdp. Maitre Brahima Fofana, porte-parole des jeunes, n’a pas voulu que les siens soient en marge des témoignages. : « Aucune frange de la population n’est mieux placée pour rendre hommage, que nous les jeunes. La désinformation ne peut plus et ne doit plus prospérer. La Côte d’Ivoire est passée du chaos à une situation meilleure. Aujourd’hui nous vivons dans ce pays en paix, où règne la quiétude. Certains disent qu’on ne mange pas la croissance. Oui ! Mais la croissance change la vie », a-t-il proclamé. Même s’il n’est pas trop doté de nombreuses années sur terre, l’orateur a plongé dans des souvenirs, qui au plus profond des habitants de cette zone, sonne comme un soulagement. « Autrefois, on quittait les parents pour aller au collège loin de chez nous. Aujourd’hui avec les collèges de proximité, tout ceci n’est qu’un vieux souvenir », a-t-il saisi comme arguments pour défendre la participation de la jeunesse à cette cérémonie. Koita Issiata Ouattara, porte-parole des femmes, a à son intervention, pesé du verbe sur la litanie d’actions faites par le Chef de l’Etat. « Au regard de l’ensemble des œuvres du Président, elles vont au delà de nos espérances ». Depuis huit ans (2011 à 2019), que le Président de la République exerce, bien de choses ont changé de manière positive à en croire tous les intervenants. Ce qui s’avère comme le retour à la normalité. Le constat noté par le porte-parole de la Chambre des Rois et Chefs de village de la localité, Namissa Dosso, est un hymne à méditer. « Les Rois et chefs de village notent avec satisfaction qu’Alassane Ouattara a mis le pays sur les rails de la stabilité et de la sécurité. Nous saluons la grandeur du Président de la République. Son sens du pardon a permis la libération des prisonniers politiques. Aujourd’hui il est en train de gagner le pari du rassemblement des Ivoiriens pour aller à l’émergence », a-t-il annoncé avec satisfaction. Il a également mentionné la construction par le gouvernement de quatre maisons pour sa corporation, sans que cela n’affecte l’ethnie, ni la religion. Bref ! Ce sont des gestes qui donnent de l’honneur à cette chambre dont les membres sont les pacificateurs, les régleurs de conflits et les régulateurs de la société. Le président de la cérémonie, le premier ministre, Amadou Gon, compagnon indéfectible du Chef de l’Etat, dont le discours était grandement attendu a fait le tour des différentes questions que se posent les populations. Des réalisations à l’actualité, principalement l’épisode de la carte d’identité nationale, ont été parcourues par lui. A l’entame, il a affirmé aux uns et aux autres que : « Le leadership et la vision d’Ado sont reconnus dans le monde entier ». Pour le premier ministre aucune région du pays n’a été oubliée par le vent de réalisations du gouvernement. « Toutes les régions bénéficient des actions du gouvernement », a-t-il fait savoir. Vis-à-vis de la carte nationale d’identité qui aujourd’hui fait couler certaines salives, il a renseigné que son acceptation par tous a été faite en 2014. Et que ce n’est pas aujourd’hui qu’à cours d’arguments, certaines gens vont dire le contraire, alors qu’elles sont comptables de cette décision. Amadou Gon a en outre lu la liste des chiffres qui font du Chef de l’Etat une exception dans l’exécution de son programme. Il a par ce faire, ajouter du jus à la conversation. Parlant de l’électrification, il a mentionné que « de 1960 à 2011, 1825 localités ont été électrifiées. Cependant sous l’ère Alassane Ouattara, (de 2011 à 2019), 2291 localités ont été électrifiées. Jusqu’à fin 2020, 3360 localités supplémentaires seront électrifiées ». Les actions sont nombreuses et difficiles à énumérer. En exemple pour la décrispation de l’atmosphère sociale, 278.711 Ivoiriens qui ont fui le pays à cause de la crise postélectorale de 2011, ont été rapatriés et recasés. Comme le dirait l’autre, Alassane Ouattara, une chance pour la Côte d’Ivoire. Et c’est par effet boomerang, que vu la reconnaissance de haut niveau des populations du grand nord, que le premier ministre a fait un don de 43 millions de francs Cfa ce jour-là.
Des présences de personnalités en guise de témoignage
Ferké est-il ce challenge dont rêvent certaines gens ? Pour cet hommage, la ville ne s’est pas parée d’atouts spéciaux. C’est plutôt elle qui a subi une déferlante de hautes personnalités. Dans cet espace de plus de 25000 participants, des noms de légende, ont alimenté le débat. La présence du contre-amiral Lamine Fadiga, d’un certain Laurent Donald Fologo et beaucoup d’autres anciens dont les noms ont tracé des périodes glorieuses de l’histoire de la Côte d’Ivoire. C’est le témoignage que l’événement a été de calibre. Ces pontes au nom référence ont verni la toile prestige Alassane Ouattara. A elles, se sont ajoutées les jeunes personnalités pleines de dynamisme de l’heure. Bruno Nabagné, Hamed Bakayoko, Kaba Nialé, Kandia Camara, Mariétou Koné… additionné au président du Sénat, Jeannot Kouadio Ahoussou. Pourquoi chercher midi à 14 heures, semblent murmurer les voix. Elles étaient certes silencieuses. Mais dans le tréfonds de la sagesse des avertis, le silence s’st exprimé. Et ce mutisme est un consentement par elles, des actions posées par le célébré.
Clément KOFFI
(Envoyé spécial)
Des actions constructives qui charment les populations.
Les différentes couches de la population présentes à cette rencontre chargée d’émotion ont exprimé le sens de cet hommage, qu’elles ont organisé en l’honneur du président du Rhdp. Maitre Brahima Fofana, porte-parole des jeunes, n’a pas voulu que les siens soient en marge des témoignages. : « Aucune frange de la population n’est mieux placée pour rendre hommage, que nous les jeunes. La désinformation ne peut plus et ne doit plus prospérer. La Côte d’Ivoire est passée du chaos à une situation meilleure. Aujourd’hui nous vivons dans ce pays en paix, où règne la quiétude. Certains disent qu’on ne mange pas la croissance. Oui ! Mais la croissance change la vie », a-t-il proclamé. Même s’il n’est pas trop doté de nombreuses années sur terre, l’orateur a plongé dans des souvenirs, qui au plus profond des habitants de cette zone, sonne comme un soulagement. « Autrefois, on quittait les parents pour aller au collège loin de chez nous. Aujourd’hui avec les collèges de proximité, tout ceci n’est qu’un vieux souvenir », a-t-il saisi comme arguments pour défendre la participation de la jeunesse à cette cérémonie. Koita Issiata Ouattara, porte-parole des femmes, a à son intervention, pesé du verbe sur la litanie d’actions faites par le Chef de l’Etat. « Au regard de l’ensemble des œuvres du Président, elles vont au delà de nos espérances ». Depuis huit ans (2011 à 2019), que le Président de la République exerce, bien de choses ont changé de manière positive à en croire tous les intervenants. Ce qui s’avère comme le retour à la normalité. Le constat noté par le porte-parole de la Chambre des Rois et Chefs de village de la localité, Namissa Dosso, est un hymne à méditer. « Les Rois et chefs de village notent avec satisfaction qu’Alassane Ouattara a mis le pays sur les rails de la stabilité et de la sécurité. Nous saluons la grandeur du Président de la République. Son sens du pardon a permis la libération des prisonniers politiques. Aujourd’hui il est en train de gagner le pari du rassemblement des Ivoiriens pour aller à l’émergence », a-t-il annoncé avec satisfaction. Il a également mentionné la construction par le gouvernement de quatre maisons pour sa corporation, sans que cela n’affecte l’ethnie, ni la religion. Bref ! Ce sont des gestes qui donnent de l’honneur à cette chambre dont les membres sont les pacificateurs, les régleurs de conflits et les régulateurs de la société. Le président de la cérémonie, le premier ministre, Amadou Gon, compagnon indéfectible du Chef de l’Etat, dont le discours était grandement attendu a fait le tour des différentes questions que se posent les populations. Des réalisations à l’actualité, principalement l’épisode de la carte d’identité nationale, ont été parcourues par lui. A l’entame, il a affirmé aux uns et aux autres que : « Le leadership et la vision d’Ado sont reconnus dans le monde entier ». Pour le premier ministre aucune région du pays n’a été oubliée par le vent de réalisations du gouvernement. « Toutes les régions bénéficient des actions du gouvernement », a-t-il fait savoir. Vis-à-vis de la carte nationale d’identité qui aujourd’hui fait couler certaines salives, il a renseigné que son acceptation par tous a été faite en 2014. Et que ce n’est pas aujourd’hui qu’à cours d’arguments, certaines gens vont dire le contraire, alors qu’elles sont comptables de cette décision. Amadou Gon a en outre lu la liste des chiffres qui font du Chef de l’Etat une exception dans l’exécution de son programme. Il a par ce faire, ajouter du jus à la conversation. Parlant de l’électrification, il a mentionné que « de 1960 à 2011, 1825 localités ont été électrifiées. Cependant sous l’ère Alassane Ouattara, (de 2011 à 2019), 2291 localités ont été électrifiées. Jusqu’à fin 2020, 3360 localités supplémentaires seront électrifiées ». Les actions sont nombreuses et difficiles à énumérer. En exemple pour la décrispation de l’atmosphère sociale, 278.711 Ivoiriens qui ont fui le pays à cause de la crise postélectorale de 2011, ont été rapatriés et recasés. Comme le dirait l’autre, Alassane Ouattara, une chance pour la Côte d’Ivoire. Et c’est par effet boomerang, que vu la reconnaissance de haut niveau des populations du grand nord, que le premier ministre a fait un don de 43 millions de francs Cfa ce jour-là.
Des présences de personnalités en guise de témoignage
Ferké est-il ce challenge dont rêvent certaines gens ? Pour cet hommage, la ville ne s’est pas parée d’atouts spéciaux. C’est plutôt elle qui a subi une déferlante de hautes personnalités. Dans cet espace de plus de 25000 participants, des noms de légende, ont alimenté le débat. La présence du contre-amiral Lamine Fadiga, d’un certain Laurent Donald Fologo et beaucoup d’autres anciens dont les noms ont tracé des périodes glorieuses de l’histoire de la Côte d’Ivoire. C’est le témoignage que l’événement a été de calibre. Ces pontes au nom référence ont verni la toile prestige Alassane Ouattara. A elles, se sont ajoutées les jeunes personnalités pleines de dynamisme de l’heure. Bruno Nabagné, Hamed Bakayoko, Kaba Nialé, Kandia Camara, Mariétou Koné… additionné au président du Sénat, Jeannot Kouadio Ahoussou. Pourquoi chercher midi à 14 heures, semblent murmurer les voix. Elles étaient certes silencieuses. Mais dans le tréfonds de la sagesse des avertis, le silence s’st exprimé. Et ce mutisme est un consentement par elles, des actions posées par le célébré.
Clément KOFFI
(Envoyé spécial)
