« Apprendre à écouter, c’est apprendre à voir dans chaque rencontre une occasion d’être une meilleure personne ». Cette maxime, tirée de la conclusion de l’exposé : « Techniques de l’écoute active et participative », présenté par Béhibro Edith Adjoua, Formatrice en gestion des conflits, Médiatrice familiale, est adressée aux leaders religieux, rois et chefs traditionnels.
« Messieurs les chefs apprenez à écouter vos administrés, ayez des cadres d’échanges avec les différentes couches sociales », les a-t-elle exhortés. Selon elle, cette relation d’écoute active et participative ne doit pas s’arrêter aux manifestations sportives et autres activités socioculturelles.
Saisissant cette opportunité que lui a offert ce mercredi 14 août, la Fondation Félix Houphouët-Boigny à Yamoussoukro, à l’occasion du symposium des leaders religieux, rois et chefs traditionnels sur la culture de la paix et la non-violence, c’est un cri de cœur qu’elle a émis.
« Je pense qu’il devrait avoir une communication paternelle, une communication d’amour entre les leaders et les chefs de communautés (administrés) » a indiqué celle qui est également présidente de l’ONG Sdef-Afrique (Services droits de l’enfant et de la famille).
Elle soutient son argument par le fait que : ‘’ les leaders sont sur un piédestal duquel ils devraient descendre pour se disposer à écouter on ne peut plus la population ’’.
« Ecouter et entendre, font deux choses différentes. On n’écoute pour comprendre. Et pour ce faire, il faut qu’ils maitrisent les techniques d’écoute », a souligné la Formatrice en gestion des conflits. Elle leur a donc conseillé ces techniques : ‘’ se taire ; écouter la personne ; laisser la personne parler ; faire taire son dialogue intérieur’’, parce qu’en tant que chefs, ils ont beaucoup d’occupation si bien que souvent ils peuvent écouter d’une oreille distraite.
En cela, elle définit l’écoute active comme celle qui se fait avec les oreilles, le cœur et avec les yeux pour apprendre à regarder l’autre et épouser ses préoccupations.
JOB
« Messieurs les chefs apprenez à écouter vos administrés, ayez des cadres d’échanges avec les différentes couches sociales », les a-t-elle exhortés. Selon elle, cette relation d’écoute active et participative ne doit pas s’arrêter aux manifestations sportives et autres activités socioculturelles.
Saisissant cette opportunité que lui a offert ce mercredi 14 août, la Fondation Félix Houphouët-Boigny à Yamoussoukro, à l’occasion du symposium des leaders religieux, rois et chefs traditionnels sur la culture de la paix et la non-violence, c’est un cri de cœur qu’elle a émis.
« Je pense qu’il devrait avoir une communication paternelle, une communication d’amour entre les leaders et les chefs de communautés (administrés) » a indiqué celle qui est également présidente de l’ONG Sdef-Afrique (Services droits de l’enfant et de la famille).
Elle soutient son argument par le fait que : ‘’ les leaders sont sur un piédestal duquel ils devraient descendre pour se disposer à écouter on ne peut plus la population ’’.
« Ecouter et entendre, font deux choses différentes. On n’écoute pour comprendre. Et pour ce faire, il faut qu’ils maitrisent les techniques d’écoute », a souligné la Formatrice en gestion des conflits. Elle leur a donc conseillé ces techniques : ‘’ se taire ; écouter la personne ; laisser la personne parler ; faire taire son dialogue intérieur’’, parce qu’en tant que chefs, ils ont beaucoup d’occupation si bien que souvent ils peuvent écouter d’une oreille distraite.
En cela, elle définit l’écoute active comme celle qui se fait avec les oreilles, le cœur et avec les yeux pour apprendre à regarder l’autre et épouser ses préoccupations.
JOB