Des organisations de la société civile se sont engagées à mettre leurs expertises au service du gouvernement pour une meilleure gestion des déchets d’équipements électriques et électroniques et des pneus usagés ou D3E. C’était lors d’une session d’information face à la presse, ce jeudi 12 septembre 2019, au Centre épiscopal régional apostolique ouest-africain (CERAO) d’Abidjan Cocody.
Réunies au sein de la Fédération des Réseaux et Associations de l’Énergie, de l’Environnement et du Développement Durable ( FEREADD), ces structures veulent contribuer efficacement à la mise en œuvre de la filière de valorisation et de recyclage des déchets d’équipements électriques et électroniques ainsi que des pneus usagés.
Et cela, à travers l’identification et l’enregistrement de tous les produits d’équipements électriques et électroniques, la récupération auprès des fabricants, exportateurs et importateurs de l’écotaxe sur ces produits, et la construction de centre de collecte et d’unités de traitement des D3E et des pneus usagés.
« À travers cette déclaration officielle à l’endroit du gouvernement ivoirien, des partenaires techniques et financiers, nous voulons accompagner la mise en œuvre du projet D3E qui aura un impact positif sur la protection de l’environnement, la promotion du social et le développement de l’emploi vert », a confié M. Loukou, président de ladite fédération.
Jacques Koffi, représentant du ministre de l’Environnement et du Développement durable, Joseph Séka Séka, a, lui, salué l’initiative qui va, selon lui, contribuer à l’amélioration du cadre de vie des populations.
Il a rappelé qu’à travers le décret n°2017-271 du 05 avril 2017 portant gestion écologique des D3E et des pneus usagés de Côte d’Ivoire, le gouvernement ivoirien veut limiter les répercussions de ces déchets tant sur la vie humaine, sur les activités économiques que sur l’environnement.
Selon le rapport 2019 des Nations Unies, du Forum économique mondial et du Conseil mondial des entreprises pour le développement durable, chaque année, 50 millions de tonnes de D3E ne sont pas traitées. La valeur des matériaux contenus dans ces déchets s’élève à plus de 62,5 milliards de dollars par an. En Côte d’Ivoire, la quantité de ces déchets augmente rapidement et la gestion se fait dans l’informelle. Il y a donc urgence d’une vive et efficiente réaction.
Cyprien K.
Réunies au sein de la Fédération des Réseaux et Associations de l’Énergie, de l’Environnement et du Développement Durable ( FEREADD), ces structures veulent contribuer efficacement à la mise en œuvre de la filière de valorisation et de recyclage des déchets d’équipements électriques et électroniques ainsi que des pneus usagés.
Et cela, à travers l’identification et l’enregistrement de tous les produits d’équipements électriques et électroniques, la récupération auprès des fabricants, exportateurs et importateurs de l’écotaxe sur ces produits, et la construction de centre de collecte et d’unités de traitement des D3E et des pneus usagés.
« À travers cette déclaration officielle à l’endroit du gouvernement ivoirien, des partenaires techniques et financiers, nous voulons accompagner la mise en œuvre du projet D3E qui aura un impact positif sur la protection de l’environnement, la promotion du social et le développement de l’emploi vert », a confié M. Loukou, président de ladite fédération.
Jacques Koffi, représentant du ministre de l’Environnement et du Développement durable, Joseph Séka Séka, a, lui, salué l’initiative qui va, selon lui, contribuer à l’amélioration du cadre de vie des populations.
Il a rappelé qu’à travers le décret n°2017-271 du 05 avril 2017 portant gestion écologique des D3E et des pneus usagés de Côte d’Ivoire, le gouvernement ivoirien veut limiter les répercussions de ces déchets tant sur la vie humaine, sur les activités économiques que sur l’environnement.
Selon le rapport 2019 des Nations Unies, du Forum économique mondial et du Conseil mondial des entreprises pour le développement durable, chaque année, 50 millions de tonnes de D3E ne sont pas traitées. La valeur des matériaux contenus dans ces déchets s’élève à plus de 62,5 milliards de dollars par an. En Côte d’Ivoire, la quantité de ces déchets augmente rapidement et la gestion se fait dans l’informelle. Il y a donc urgence d’une vive et efficiente réaction.
Cyprien K.
