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Acteurs de la société civile, comité multi-sectoriel de lutte contre le phénomène des enfants en rupture sociale ainsi que les partenaires techniques et financiers, ont pris part le jeudi 12 septembre 2019 à l’atelier de validation du plan d’actions issu des recommandations du rapport de l’étude quantitative sur le phénomène des enfants en rupture sociale.
Cette rencontre s’est tenue au bureau technique de la coordination de Save the Children sis à Cocody Angré 7e tranche. Elle a eu pour objectif de valider et budgétiser le plan d’action issu des recommandations d’un atelier qui s’est tenu du 23 au 27 avril dernier, à Bonoua, sur la même question.
Selon Simone Manzan, chef de projet à l’ONG SOS violence sexuelle, ce plan d’actions est décliné sous trois (3) axes, à savoir la phase de prévention, de réponse et de plaidoyer.
Pour ce qui est de la prévention, ce plan d’action vise à sensibiliser les enfants qui n’ont pas encore basculé dans ce phénomène. La réponse, quant à elle, vise à une prise en charge psycho-sociale et à la réintégration des enfants déjà touchés par ce phénomène estimés à 400.000 enfants en rupture sociale dans les communes d’Abobo, Adjamé, Attécoubé et Yopougon où une étude a été menée en décembre 2018.
Save the Children qui est un partenaire technique et financier, va intervenir pour la levée de fonds auprès des bailleurs extérieurs pour l’exécution de ce plan d’actions dont le rapport a été remis au ministre de la Famille, de la Femme et de l’Enfant en janvier dernier. Précision apportée par martial Kouakou, chef de projet à Save the Children.
Le phénomène d’enfants en rupture sociale, selon les participants à l’atelier, a perturbé le vécu des Ivoiriens ces dernières années. L’exécution de ce plan d’actions, en complément aux actions de l’État, conduirait ainsi, vers une solution durable.
Cyprien K.
Cette rencontre s’est tenue au bureau technique de la coordination de Save the Children sis à Cocody Angré 7e tranche. Elle a eu pour objectif de valider et budgétiser le plan d’action issu des recommandations d’un atelier qui s’est tenu du 23 au 27 avril dernier, à Bonoua, sur la même question.
Selon Simone Manzan, chef de projet à l’ONG SOS violence sexuelle, ce plan d’actions est décliné sous trois (3) axes, à savoir la phase de prévention, de réponse et de plaidoyer.
Pour ce qui est de la prévention, ce plan d’action vise à sensibiliser les enfants qui n’ont pas encore basculé dans ce phénomène. La réponse, quant à elle, vise à une prise en charge psycho-sociale et à la réintégration des enfants déjà touchés par ce phénomène estimés à 400.000 enfants en rupture sociale dans les communes d’Abobo, Adjamé, Attécoubé et Yopougon où une étude a été menée en décembre 2018.
Save the Children qui est un partenaire technique et financier, va intervenir pour la levée de fonds auprès des bailleurs extérieurs pour l’exécution de ce plan d’actions dont le rapport a été remis au ministre de la Famille, de la Femme et de l’Enfant en janvier dernier. Précision apportée par martial Kouakou, chef de projet à Save the Children.
Le phénomène d’enfants en rupture sociale, selon les participants à l’atelier, a perturbé le vécu des Ivoiriens ces dernières années. L’exécution de ce plan d’actions, en complément aux actions de l’État, conduirait ainsi, vers une solution durable.
Cyprien K.
