Initiative de la société civile ivoirienne pour la réconciliation (ISCIR), plateforme d'organisations de la société civile ivoirienne, a organisé une rencontre le vendredi 13 septembre 2019, à Cocody, pour proposer son offre en vue d’élections apaisées en 2020.
Lors d’un échange avec la presse à Abidjan, Yéo Seydou (président de ISCIR) et Pulchérie Gbalet (présidente de Aci et membre de ISCIR), ont posé un diagnostic profond de la situation sociopolitique en Côte d’Ivoire à 13 mois de la présidentielle de 2020.
Pour Yéo Seydou, les conditions d’une élection apaisée ne sont pas encore réunies. Les tensions étant encore vives et les positions se cristallisant de plus en plus. Face à cette situation, ISCIR appelle à l’implication de la société civile en vue d’éviter à la Côte d’Ivoire, une autre crise post-électorale.
Pour les conférenciers, les pouvoirs publics doivent privilégier la réconciliation et la paix. Toute chose qui doit passer par une recherche permanente de consensus autour du processus électoral.
DA
Lors d’un échange avec la presse à Abidjan, Yéo Seydou (président de ISCIR) et Pulchérie Gbalet (présidente de Aci et membre de ISCIR), ont posé un diagnostic profond de la situation sociopolitique en Côte d’Ivoire à 13 mois de la présidentielle de 2020.
Pour Yéo Seydou, les conditions d’une élection apaisée ne sont pas encore réunies. Les tensions étant encore vives et les positions se cristallisant de plus en plus. Face à cette situation, ISCIR appelle à l’implication de la société civile en vue d’éviter à la Côte d’Ivoire, une autre crise post-électorale.
Pour les conférenciers, les pouvoirs publics doivent privilégier la réconciliation et la paix. Toute chose qui doit passer par une recherche permanente de consensus autour du processus électoral.
DA