L’ancien Chef de l’Etat, Henri Konan Bédié, dauphin constitutionnel hier du Bélier de Yamoussoukro, qui lui a succédé dans des ‘’conditions calamiteuses’’ le 7 décembre 1993 et qui a abandonné la ville natale du ‘’vieux’’ au profit de Daoukro, est annoncé pour les 18 et 19 Octobre 2019 sur la tombe de Félix Houphouët-Boigny. Une visite ‘’qui fait retourner’’ l’ancien Chef de l’Etat dans son caveau familial.
Il a claqué avec beaucoup de fracas il y a presque un an, la porte du RHDP, la maison qui rassemble tous les ‘’Houphouétistes’’ pour s’allier aux hommes politiques qui ont précipité hier la ‘’mort’’ du père de l’indépendance de la Côte d’Ivoire. Selon les révélations d’une ‘’prophétesse’’ qui a requis l’anonymat, c’est un voyage bien ‘’risqué’’ pour le ‘’sphinx’’ de Daoukro. Pour les raisons évoquées ci-après. Le 7 décembre 1993, le président Henri Konan Bédié aurait ‘’enjambé’’ le corps encore ‘’chaud’’ du père de l’indépendance pour ‘’s’installer’’ avec précipitation dans le fauteuil présidentiel, alors que rien ne pressait. La mémoire du Bélier de Yamoussoukro n’aurait pas été respectée avec cette crise inutile suscitée juste quelques heures après l’annonce de son décès. Autrement dit, sa succession n’aurait pas été faite dans les règles de l’art, après sa mort. La division parmi les Houphouétistes serait partie de là, d’où son court mandat de 1993 (7 décembre) au 24 décembre 1999. Le deuxième grief invoqué par celle qui dit parler aussi avec les esprits des morts, est l’abandon de la ville de Yamoussoukro au profit de Daoukro devenue sous son règne, le centre de tous les ballets diplomatiques en Côte d’Ivoire. Houphouët-Boigny en était perturbé dans sa tombe, à l’idée que ses œuvres aient été abandonnées dans la broussaille, à l’image de sa résidence privée à Yamoussoukro avec tout ce qu’il y avait comme ruines. Dans ses discours publics, il aurait toujours ‘’évité’’ de faire référence à celui qui lui a offert hier le ‘’fauteuil présidentiel’’ sur un plateau d’argent, avec l’article 11 de l’ancienne Constitution. Le père de l’indépendance aurait ajouté à ses remontrances envers Bédié, son concept inique ‘’d’ivoirité’’ qui aurait achevé la division entre les fils et filles de la Côte d’Ivoire, avec à la clé, l’emprisonnement des cadres du RDR, 3 mois avant sa chute du pouvoir, avec aussi un mandat d’arrêt international lancé contre ‘’l’homme selon son cœur’’, celui qu’il a ‘’prédestiné’’ pour rassembler les Ivoiriens, l’actuel Chef de l’Etat, Alassane Ouattara. Dernière critique virulente, son départ du RHDP aurait fini par convaincre le président Houphouët-Boigny qu’il se serait lourdement trompé hier sur le compte de Bédié qui s’est résolu à ne plus ‘’marcher sur ses traces’’, mais qui nourrirait aujourd’hui, à 85 ans bien sonnés, des ambitions politiques pour diriger au soir de sa vie la Côte d’Ivoire.
Houphouët-Boigny serait très en colère, très remonté contre Bédié et pourrait envoyer des grands signes et prodiges dans le ciel de la Côte d’Ivoire pour lui signifier qu’il n’est pas le bienvenu sur sa tombe. Son déplacement pourrait être ‘’perturbé’’ par des événements mystérieux célestes, s’il ne sollicite pas une messe de requiem pour implorer le pardon du Bélier de Yamoussoukro pour ses dérives comportementales, a confessé cette voyante.
Igor Wawayou.
Il a claqué avec beaucoup de fracas il y a presque un an, la porte du RHDP, la maison qui rassemble tous les ‘’Houphouétistes’’ pour s’allier aux hommes politiques qui ont précipité hier la ‘’mort’’ du père de l’indépendance de la Côte d’Ivoire. Selon les révélations d’une ‘’prophétesse’’ qui a requis l’anonymat, c’est un voyage bien ‘’risqué’’ pour le ‘’sphinx’’ de Daoukro. Pour les raisons évoquées ci-après. Le 7 décembre 1993, le président Henri Konan Bédié aurait ‘’enjambé’’ le corps encore ‘’chaud’’ du père de l’indépendance pour ‘’s’installer’’ avec précipitation dans le fauteuil présidentiel, alors que rien ne pressait. La mémoire du Bélier de Yamoussoukro n’aurait pas été respectée avec cette crise inutile suscitée juste quelques heures après l’annonce de son décès. Autrement dit, sa succession n’aurait pas été faite dans les règles de l’art, après sa mort. La division parmi les Houphouétistes serait partie de là, d’où son court mandat de 1993 (7 décembre) au 24 décembre 1999. Le deuxième grief invoqué par celle qui dit parler aussi avec les esprits des morts, est l’abandon de la ville de Yamoussoukro au profit de Daoukro devenue sous son règne, le centre de tous les ballets diplomatiques en Côte d’Ivoire. Houphouët-Boigny en était perturbé dans sa tombe, à l’idée que ses œuvres aient été abandonnées dans la broussaille, à l’image de sa résidence privée à Yamoussoukro avec tout ce qu’il y avait comme ruines. Dans ses discours publics, il aurait toujours ‘’évité’’ de faire référence à celui qui lui a offert hier le ‘’fauteuil présidentiel’’ sur un plateau d’argent, avec l’article 11 de l’ancienne Constitution. Le père de l’indépendance aurait ajouté à ses remontrances envers Bédié, son concept inique ‘’d’ivoirité’’ qui aurait achevé la division entre les fils et filles de la Côte d’Ivoire, avec à la clé, l’emprisonnement des cadres du RDR, 3 mois avant sa chute du pouvoir, avec aussi un mandat d’arrêt international lancé contre ‘’l’homme selon son cœur’’, celui qu’il a ‘’prédestiné’’ pour rassembler les Ivoiriens, l’actuel Chef de l’Etat, Alassane Ouattara. Dernière critique virulente, son départ du RHDP aurait fini par convaincre le président Houphouët-Boigny qu’il se serait lourdement trompé hier sur le compte de Bédié qui s’est résolu à ne plus ‘’marcher sur ses traces’’, mais qui nourrirait aujourd’hui, à 85 ans bien sonnés, des ambitions politiques pour diriger au soir de sa vie la Côte d’Ivoire.
Houphouët-Boigny serait très en colère, très remonté contre Bédié et pourrait envoyer des grands signes et prodiges dans le ciel de la Côte d’Ivoire pour lui signifier qu’il n’est pas le bienvenu sur sa tombe. Son déplacement pourrait être ‘’perturbé’’ par des événements mystérieux célestes, s’il ne sollicite pas une messe de requiem pour implorer le pardon du Bélier de Yamoussoukro pour ses dérives comportementales, a confessé cette voyante.
Igor Wawayou.