La Commission Nationale de lutte contre la Prolifération et la Circulation illicite des Armes Légères et de Petit Calibre (ComNAT-ALPC) organise les 22 et 23 octobre 2019, en collaboration avec Expertise France, un atelier de formation sur l’élaboration du rapport annuel sur les exportations et importations d’armes classiques.
Cette activité, dont la cérémonie d’ouverture s’est tenue ce mardi 22 octobre s’inscrit dans le cadre du Programme de l’Union Européenne de sensibilisation au Traité sur le Commerce des Armes (TCA)
Dal Borgo, chargé de programmes au sein de la délégation de l’union européenne en Côte d’Ivoire a tenu à souligner que l’Union Européenne croit fermement que le commerce illicite des armes conventionnelles ne doit pas être sous-estimé car il alimente les conflits, le terrorisme et les activités criminelles qui sont des facteurs importants d’instabilité.
« L’Union Européenne soutient les pays désireux de renforcer leur savoir faire en matière de contrôle, de transfert d’armes et lutte contre les opérations illicites » a-t-il indiqué.
Léon Djokouehi, secrétaire exécutif, représentant le Président de la ComNat-ALPC, a expliqué le contexte de l’atelier et les résultats attendus, après avoir souhaité la bienvenue aux différents participants et salué leur présence effective.
Il s’agit aujourd’hui, selon lui, de la mise en œuvre du traité sur le commerce des armes illicites et lequel traité demande un rapport annuel sur le transfert des armes à tous les Etats.
Pour lui, cet atelier est très important, car la problématique des armes qui se pose aujourd’hui, la problématique du terrorisme qui se pose à nous, ne peuvent être jugulé par un seul Etat. Et tout le monde est victime du terrorisme car il est lui-même international et il franchit les couleurs raciales et les frontières. « C’est ensemble au plan international que nous pouvons apporter une solution. »
Adopté par l’assemblée générale des nations unies le 02 avril 2013 et entré en vigueur le 24 décembre 2014, le traité sur le commerce des armes vise notamment à instituer des normes internationales communes les plus strictes possibles afin de réglementer le commerce licite de ces armes conventionnelles, de prévenir et éliminer le commerce illicite de ces armes, ainsi que d’empêcher leur détournement.
L’atelier a enregistré la participation des responsables de l’Union Européenne, de la fondation pour la recherche stratégique ainsi que la direction générale des relations internationales et de la stratégie et le Ministère des Armées de France.
PR
Cette activité, dont la cérémonie d’ouverture s’est tenue ce mardi 22 octobre s’inscrit dans le cadre du Programme de l’Union Européenne de sensibilisation au Traité sur le Commerce des Armes (TCA)
Dal Borgo, chargé de programmes au sein de la délégation de l’union européenne en Côte d’Ivoire a tenu à souligner que l’Union Européenne croit fermement que le commerce illicite des armes conventionnelles ne doit pas être sous-estimé car il alimente les conflits, le terrorisme et les activités criminelles qui sont des facteurs importants d’instabilité.
« L’Union Européenne soutient les pays désireux de renforcer leur savoir faire en matière de contrôle, de transfert d’armes et lutte contre les opérations illicites » a-t-il indiqué.
Léon Djokouehi, secrétaire exécutif, représentant le Président de la ComNat-ALPC, a expliqué le contexte de l’atelier et les résultats attendus, après avoir souhaité la bienvenue aux différents participants et salué leur présence effective.
Il s’agit aujourd’hui, selon lui, de la mise en œuvre du traité sur le commerce des armes illicites et lequel traité demande un rapport annuel sur le transfert des armes à tous les Etats.
Pour lui, cet atelier est très important, car la problématique des armes qui se pose aujourd’hui, la problématique du terrorisme qui se pose à nous, ne peuvent être jugulé par un seul Etat. Et tout le monde est victime du terrorisme car il est lui-même international et il franchit les couleurs raciales et les frontières. « C’est ensemble au plan international que nous pouvons apporter une solution. »
Adopté par l’assemblée générale des nations unies le 02 avril 2013 et entré en vigueur le 24 décembre 2014, le traité sur le commerce des armes vise notamment à instituer des normes internationales communes les plus strictes possibles afin de réglementer le commerce licite de ces armes conventionnelles, de prévenir et éliminer le commerce illicite de ces armes, ainsi que d’empêcher leur détournement.
L’atelier a enregistré la participation des responsables de l’Union Européenne, de la fondation pour la recherche stratégique ainsi que la direction générale des relations internationales et de la stratégie et le Ministère des Armées de France.
PR