Faut-il trouver un site pour les ateliers de ferronnerie ou les déguerpir pour sauvegarder la voirie de la Cité n’zassa ? Sans l’ignorer, les ateliers de ferronnerie ont leur part de responsabilité directe dans la dégradation de la voiriede par leurs travaux intensifs et la mécanographie utilisée. Exercé antérieurement par une minorité avec une faible demande de services et un effectif insignifiant d’employés, ce secteur d’activité est aujourd’hui prisé et connait un développement spectaculaire, employant un bon nombre de la population jeune.
Les locaux étant devenus très exigus pour installer les supports de montage et de soudure, des promoteurs ont décidé de faire entorse aux règles administratives en matière d’occupation du domaine public, en occupant les chaussées qu’ils ne quittent plus. A certains endroits de la Cité, des propriétaires d’ateliers de ferronnerie s’octroient toute la chaussée, sous prétexte qu’ils détiennent une fiche d’occupation du domaine public. Lequel document stipule pourtant que le local ne doit pas excéder le trottoir. De l’avenue 24 rue 24 et 25 du Quartier Arras 4 au Quartier Chicago avenue 2 rue18 en passant par le Quartier Biafra, sans se soucier de sauvegarder les infrastructures routières, les ateliers se sont déportés sur la chaussée empêchant la circulation malgré les interpellations de la Direction des services techniques et de l’environnement.
C’est à croire que le bon état de la voirie à Treichville n’est pas une préoccupation pour ces ferronniers dont le seul objectif est de maximiser leur profit. Pour les riverains, la gestion de ce problème dépasse les compétences de leurs responsables de Quartiers. Il incombe donc à la Mairie de trouver des solutions palliatives pour ne pas mettre au chômage nos enfants qui travaillent dans ce secteur. Il faut souligner que ces ouvrages ont nécessité un investissement onéreux de la Municipalité pour le bien-être des populations. Ainsi, ces acquis doivent être préservés par les habitants qui en sont les premiers bénéficiaires.
LOUA DIOMANDE
(Stagiaire)
Les locaux étant devenus très exigus pour installer les supports de montage et de soudure, des promoteurs ont décidé de faire entorse aux règles administratives en matière d’occupation du domaine public, en occupant les chaussées qu’ils ne quittent plus. A certains endroits de la Cité, des propriétaires d’ateliers de ferronnerie s’octroient toute la chaussée, sous prétexte qu’ils détiennent une fiche d’occupation du domaine public. Lequel document stipule pourtant que le local ne doit pas excéder le trottoir. De l’avenue 24 rue 24 et 25 du Quartier Arras 4 au Quartier Chicago avenue 2 rue18 en passant par le Quartier Biafra, sans se soucier de sauvegarder les infrastructures routières, les ateliers se sont déportés sur la chaussée empêchant la circulation malgré les interpellations de la Direction des services techniques et de l’environnement.
C’est à croire que le bon état de la voirie à Treichville n’est pas une préoccupation pour ces ferronniers dont le seul objectif est de maximiser leur profit. Pour les riverains, la gestion de ce problème dépasse les compétences de leurs responsables de Quartiers. Il incombe donc à la Mairie de trouver des solutions palliatives pour ne pas mettre au chômage nos enfants qui travaillent dans ce secteur. Il faut souligner que ces ouvrages ont nécessité un investissement onéreux de la Municipalité pour le bien-être des populations. Ainsi, ces acquis doivent être préservés par les habitants qui en sont les premiers bénéficiaires.
LOUA DIOMANDE
(Stagiaire)