Abidjan - Un cadre de dialogue sur les chaînes de valeur durables pour les paysages forestiers et agro-forestiers de Côte d’Ivoire, a été lancé, mardi, à Cocody, lors d’un atelier initié par le Programme des Nations Unies pour l’environnement et la Facilité REDD de l’Union Européenne.
L’objectif principal de cette rencontre, selon les organisateurs, est de clarifier les besoins et opportunités de développement des chaînes de valeur des produits forestiers et agro-forestiers issus des nouveaux modèles de restauration du couvert forestier ivoirien.
Il s’agit particulièrement du développement, de la production et de la commercialisation des produits ligneux, du bois énergie, des fruits et des cultures vivrières issus de l’agroforesterie dans les plantations de cacao, ainsi que des modèles de plantations et de gestion durable des forêts naturelles.
Selon le représentant de l’Organisation des Nations Unies pour l’environnement, Peter Umunay, ce cadre de dialogue proposé par le Partenariat 1 pour 20 (c’est-à-dire un milliard de dollar, soit 600 milliards de francs CFA pour une réhabilitation de 20% du couvert forestiers ivoirien), s’inscrit dans l’initiative conjointe entre le ministère des Eaux et Forêts et le Secrétariat du Forum des Nations Unies sur les forêts (FNUF) visant à élaborer une stratégie nationale de financement des forêts en Côte d’Ivoire.
Représentant le ministre des eaux et forêts, le directeur de cabinet adjoint, le Colonel Mé Kouamé Martial, a pour sa part indiqué que cette plateforme de dialogue vient combler une des attentes dudit ministère, car elle devrait permettre de clarifier les besoins et opportunités de développement des chaînes de valeur des produits forestiers et agro-forestiers issus des nouveaux modèles de restauration du couvert forestier ivoirien.
Au cours de cet atelier de deux jours, il sera question d’approfondir la cartographie des chaînes de valeur existantes ou à développer, d’identifier les barrières et opportunités de développement et de discuter des aspects économiques et financiers pour une prise en compte des produits issus des paysages forestiers et agro-forestiers dans leur ensemble. Ce, pour une gestion plus durable des écosystèmes forestiers en Côte d’Ivoire.
(AIP)
ibo/fmo
L’objectif principal de cette rencontre, selon les organisateurs, est de clarifier les besoins et opportunités de développement des chaînes de valeur des produits forestiers et agro-forestiers issus des nouveaux modèles de restauration du couvert forestier ivoirien.
Il s’agit particulièrement du développement, de la production et de la commercialisation des produits ligneux, du bois énergie, des fruits et des cultures vivrières issus de l’agroforesterie dans les plantations de cacao, ainsi que des modèles de plantations et de gestion durable des forêts naturelles.
Selon le représentant de l’Organisation des Nations Unies pour l’environnement, Peter Umunay, ce cadre de dialogue proposé par le Partenariat 1 pour 20 (c’est-à-dire un milliard de dollar, soit 600 milliards de francs CFA pour une réhabilitation de 20% du couvert forestiers ivoirien), s’inscrit dans l’initiative conjointe entre le ministère des Eaux et Forêts et le Secrétariat du Forum des Nations Unies sur les forêts (FNUF) visant à élaborer une stratégie nationale de financement des forêts en Côte d’Ivoire.
Représentant le ministre des eaux et forêts, le directeur de cabinet adjoint, le Colonel Mé Kouamé Martial, a pour sa part indiqué que cette plateforme de dialogue vient combler une des attentes dudit ministère, car elle devrait permettre de clarifier les besoins et opportunités de développement des chaînes de valeur des produits forestiers et agro-forestiers issus des nouveaux modèles de restauration du couvert forestier ivoirien.
Au cours de cet atelier de deux jours, il sera question d’approfondir la cartographie des chaînes de valeur existantes ou à développer, d’identifier les barrières et opportunités de développement et de discuter des aspects économiques et financiers pour une prise en compte des produits issus des paysages forestiers et agro-forestiers dans leur ensemble. Ce, pour une gestion plus durable des écosystèmes forestiers en Côte d’Ivoire.
(AIP)
ibo/fmo