La troisième édition du petit déjeuner de presse de l’ APRHCI (Association des professionnels des ressources humaines de Côte d’Ivoire) a eu lieu le jeudi 5 décembre à Abidjan, avec une affluence de près de 80 professionnels des ressources humaines.
Le thème de cette rencontre : « la négociation sociale et la gestion des conflits en entreprise », a donné lieu à un panel qui a permis d’instruire les participants sur la réduction des conflits en entreprise.
A l’ouverture de cette formation, le directeur des Ressources Humaines et de la communication à la CCI-CI (Chambre de commerce et d’industrie) et vice-président de l’APRHCI Julien Adou Kouabenan, a indiqué qu’il s’agit de renforcer les capacités des professionnels des ressources humaines, en matière de négociation sociale et gestion des conflits, de sorte à éviter les conflits en entreprise. « Il faut trouver des solutions pour anticiper les conflits afin de maintenir le dialogue social», a-t-il souligné.
Au cours du panel, les participants ont pu comprendre que les principales sources de tension en entreprise proviennent de la non application des textes donnant certains avantages aux travailleurs.
Deux types de conflits sont à relever. Les conflits d’ordre juridique naissent de la mauvaise interprétation ou la non application des dispositions légales, réglementaires ou conventionnelles au sens large du thème. Les conflits d’ordre économique liés à une demande d’augmentation de salaire notamment de la part des travailleurs pour l’amélioration de leurs conditions de travail et de vie.
Pour la gestion des conflits en entreprise, le professionnel des Ressources Humaines doit viser un accord capable de satisfaire l’employeur et l’employé. Il doit avoir un savoir-faire, la maîtrise de soi et viser l’objectif qui est de rechercher un accord avec le travailleur sans en faire un vaincu. La prévention des conflits en entreprise incombe à chacun des partenaires sociaux et cela est possible grâce au respect des lois.
Dans ce cadre, lorsque l’inspection du travail est saisie pour un différend, elle convoque les parties en vue d’initier une tentative de conciliation amiable. En Côte d’Ivoire, la conciliation est l’une des principales missions exercées par l’inspection du travail.
Cet édifiant panel, sur « la négociation sociale et la gestion des conflits en entreprise », a été animé par Koffi Assienin, Secrétaire général adjoint (SGA) de l’UGTCI (Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire), Digbeu Serge Olivier, Inspecteur du Travail et des Lois sociales et Ehouman Kamelan, Magistrat, conseiller à la Cour d’appel.
JOB
Le thème de cette rencontre : « la négociation sociale et la gestion des conflits en entreprise », a donné lieu à un panel qui a permis d’instruire les participants sur la réduction des conflits en entreprise.
A l’ouverture de cette formation, le directeur des Ressources Humaines et de la communication à la CCI-CI (Chambre de commerce et d’industrie) et vice-président de l’APRHCI Julien Adou Kouabenan, a indiqué qu’il s’agit de renforcer les capacités des professionnels des ressources humaines, en matière de négociation sociale et gestion des conflits, de sorte à éviter les conflits en entreprise. « Il faut trouver des solutions pour anticiper les conflits afin de maintenir le dialogue social», a-t-il souligné.
Au cours du panel, les participants ont pu comprendre que les principales sources de tension en entreprise proviennent de la non application des textes donnant certains avantages aux travailleurs.
Deux types de conflits sont à relever. Les conflits d’ordre juridique naissent de la mauvaise interprétation ou la non application des dispositions légales, réglementaires ou conventionnelles au sens large du thème. Les conflits d’ordre économique liés à une demande d’augmentation de salaire notamment de la part des travailleurs pour l’amélioration de leurs conditions de travail et de vie.
Pour la gestion des conflits en entreprise, le professionnel des Ressources Humaines doit viser un accord capable de satisfaire l’employeur et l’employé. Il doit avoir un savoir-faire, la maîtrise de soi et viser l’objectif qui est de rechercher un accord avec le travailleur sans en faire un vaincu. La prévention des conflits en entreprise incombe à chacun des partenaires sociaux et cela est possible grâce au respect des lois.
Dans ce cadre, lorsque l’inspection du travail est saisie pour un différend, elle convoque les parties en vue d’initier une tentative de conciliation amiable. En Côte d’Ivoire, la conciliation est l’une des principales missions exercées par l’inspection du travail.
Cet édifiant panel, sur « la négociation sociale et la gestion des conflits en entreprise », a été animé par Koffi Assienin, Secrétaire général adjoint (SGA) de l’UGTCI (Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire), Digbeu Serge Olivier, Inspecteur du Travail et des Lois sociales et Ehouman Kamelan, Magistrat, conseiller à la Cour d’appel.
JOB