La 5e édition de la « conférence des Leaders » organisée par le Groupe Leaders d’Afrique a eu lieu le 07 décembre 2019 à l’Hôtel NOVOTEL d’Abidjan-plateau autour du thème, « Jeunesse Africaine et Développement, quels enjeux pour le Continent ? ».
La conférence a été prononcée conjointement par M. Hervé Ehouman, Supply Chain et M. Paul-Eric Baha Bi, Juriste, Président du Groupe Leaders d’Afrique.
Les Conférenciers ont démontré à travers leurs différentes interventions le rôle moteur que doit jouer la jeunesse dans le processus de développement du contient Africain.
Selon M. Hervé Ehouman, par ailleurs Président du Lions Club Abidjan Harmonie, l’Afrique procède un vivier important de jeune sur lequel elle peut bâtir un développement certain.
Pour lui, le développement de l’Afrique ne peut se faire sans une participation active de la Jeunesse qui demeure le creusé des dirigeants de demain.
Tout en établissant un panorama de la Jeunesse Africaine, il a mis en relief les forces et faiblesses de cette jeunesse là sur qui l’Afrique peut compter pour parvenir au développement.
M. Baha Bi a quant à lui axé son intervention sur les éléments qui de son point de vue représente les piliers essentiels du développement.
Pour lui, le développement du continent Africain doit reposer sur trois piliers essentiel, l’éducation, l’emploi des Jeunes et la participation de la jeunesse aux prises de décision économiques.
D’entrée de jeux le Conférencier a présenté l’Education comme « l’arme la plus puissante » que l’on puisse utiliser pour changer le monde.
Sans éducation, sans formation, pas de développement possible dira-t-il en substance.
Il a par ailleurs recommandé que la formation en Afrique soit réellement adaptée aux besoins de la société et des employeurs afin de faciliter l’insertion des jeunes dans à la vie active.
Concernant l’emploi des jeunes, Monsieur Paul-Eric BAHA BI a encouragé la Jeunesse Africaine à se tourner davantage vers l’entreprenariat afin de passer de « demandeur d’emploi » à « créateur d’emploi », cela d’autant plus que le secteur public ne peut pas absorber tous ces jeunes diplômés qui sortent de nos universités et grandes Ecoles.
Il a encouragé les initiatives prises par les gouvernements Africains à l’instar de la Côte d’Ivoire à travers le programme « Agir pour les Jeunes » initié par le Président de la République afin de faciliter l’accès des jeunes aux financements.
Au sujet de la participation des jeunes à la prise de décisions économiques, le Conférencier a recommandé un dialogue intergénérationnel afin que les jeunes soient associés à la gestion de la chose commune.
Pour lui la jeunesse africaine a fait ses preuves en démontrant qu’elle mérite de se voir confier des responsabilités.
Il en veut pour preuve la gestion exemplaire de plusieurs jeunes placés à la tête de structures tant dans le secteur Privé que dans le secteur public tel que la Poste de Côte d’Ivoire, la Banque Nationale d’Investissement (BNI), la BICICI, le groupe UNILEVER pour ne citer que ceux-là, dont la moyenne d’âge des dirigeants est de 40 ans.
Le conférencier a par ailleurs interpelé la jeunesse africaine sur sa part de responsabilité dans ce processus de développement.
Pour le Président du Groupe Leaders d’Afrique, il faut à l’Afrique une jeunesse encore plus responsable, attachée à des valeurs comme la discipline, l’intégrité, la rigueur, le goût du travail bien fait, une jeunesse qui a une vision, qui tournera définitivement le dos à la violence et à la facilité.
R. K.
La conférence a été prononcée conjointement par M. Hervé Ehouman, Supply Chain et M. Paul-Eric Baha Bi, Juriste, Président du Groupe Leaders d’Afrique.
Les Conférenciers ont démontré à travers leurs différentes interventions le rôle moteur que doit jouer la jeunesse dans le processus de développement du contient Africain.
Selon M. Hervé Ehouman, par ailleurs Président du Lions Club Abidjan Harmonie, l’Afrique procède un vivier important de jeune sur lequel elle peut bâtir un développement certain.
Pour lui, le développement de l’Afrique ne peut se faire sans une participation active de la Jeunesse qui demeure le creusé des dirigeants de demain.
Tout en établissant un panorama de la Jeunesse Africaine, il a mis en relief les forces et faiblesses de cette jeunesse là sur qui l’Afrique peut compter pour parvenir au développement.
M. Baha Bi a quant à lui axé son intervention sur les éléments qui de son point de vue représente les piliers essentiels du développement.
Pour lui, le développement du continent Africain doit reposer sur trois piliers essentiel, l’éducation, l’emploi des Jeunes et la participation de la jeunesse aux prises de décision économiques.
D’entrée de jeux le Conférencier a présenté l’Education comme « l’arme la plus puissante » que l’on puisse utiliser pour changer le monde.
Sans éducation, sans formation, pas de développement possible dira-t-il en substance.
Il a par ailleurs recommandé que la formation en Afrique soit réellement adaptée aux besoins de la société et des employeurs afin de faciliter l’insertion des jeunes dans à la vie active.
Concernant l’emploi des jeunes, Monsieur Paul-Eric BAHA BI a encouragé la Jeunesse Africaine à se tourner davantage vers l’entreprenariat afin de passer de « demandeur d’emploi » à « créateur d’emploi », cela d’autant plus que le secteur public ne peut pas absorber tous ces jeunes diplômés qui sortent de nos universités et grandes Ecoles.
Il a encouragé les initiatives prises par les gouvernements Africains à l’instar de la Côte d’Ivoire à travers le programme « Agir pour les Jeunes » initié par le Président de la République afin de faciliter l’accès des jeunes aux financements.
Au sujet de la participation des jeunes à la prise de décisions économiques, le Conférencier a recommandé un dialogue intergénérationnel afin que les jeunes soient associés à la gestion de la chose commune.
Pour lui la jeunesse africaine a fait ses preuves en démontrant qu’elle mérite de se voir confier des responsabilités.
Il en veut pour preuve la gestion exemplaire de plusieurs jeunes placés à la tête de structures tant dans le secteur Privé que dans le secteur public tel que la Poste de Côte d’Ivoire, la Banque Nationale d’Investissement (BNI), la BICICI, le groupe UNILEVER pour ne citer que ceux-là, dont la moyenne d’âge des dirigeants est de 40 ans.
Le conférencier a par ailleurs interpelé la jeunesse africaine sur sa part de responsabilité dans ce processus de développement.
Pour le Président du Groupe Leaders d’Afrique, il faut à l’Afrique une jeunesse encore plus responsable, attachée à des valeurs comme la discipline, l’intégrité, la rigueur, le goût du travail bien fait, une jeunesse qui a une vision, qui tournera définitivement le dos à la violence et à la facilité.
R. K.