Le ministre de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme, Bruno Koné, a annoncé l’instauration d’un fonds de garantie à l’intention des personnes aux revenus irréguliers exerçant dans le secteur informel le jeudi 19 décembre à Abidjan-Plateau, lors de la seconde phase de campagne de communication et de sensibilisation sur le CMDH (Compte de mobilisation pour l’habitat).
« Nous avons un marché d’acquéreurs où très peu disposent de revenus réguliers et de revenus stables. Mais souvent ces personnes qui sont dans l’informel disposent de moyens plus importants que celles qui viennent avec un bulletin de salaire. Mais comme elles ne sont pas capables d’en produire pour prouver que leurs revenus sont stables, elles ne sont pas acceptées », a regretté Bruno Koné.
Selon lui, la mise en place de ce fonds de garantie dans l’accompagnement des acteurs du secteur informel est disponible pour ces acteurs « dont nous savons qu’elles sont solvables et disposent de revenus pour avoir accès au crédit bancaire » a-t-il précisé.
Sur la question de la seconde phase de la campagne d’information et de sensibilisation sur le CMDH, le ministre Bruno Koné a fait savoir que cette activité vient combler un réel déficit d’informations au niveau des acteurs du secteur. Pour lui, les différents acteurs n’ont pas assez d’information c’est pourquoi il a invité les participants à tabler sur les questions et stratégies de communication pour relever les différents défis.
Siaka Fanny, président du CDMH, a indiqué que les deux thèmes débattus à savoir « Le crédit immobilier et le rôle du CDMH dans le financement du logement économique et social » et « le processus de délivrance des actes notariés dans le cadre des crédits immobiliers éligibles au CDMH » devraient permettre une meilleure compréhension de la notion de crédit acquéreur, une bonne maitrise du processus notarial et une meilleure compréhension des frais d’établissement des actes notariés dans le cadre des crédits éligibles au CDMH.
Cyprien K.
« Nous avons un marché d’acquéreurs où très peu disposent de revenus réguliers et de revenus stables. Mais souvent ces personnes qui sont dans l’informel disposent de moyens plus importants que celles qui viennent avec un bulletin de salaire. Mais comme elles ne sont pas capables d’en produire pour prouver que leurs revenus sont stables, elles ne sont pas acceptées », a regretté Bruno Koné.
Selon lui, la mise en place de ce fonds de garantie dans l’accompagnement des acteurs du secteur informel est disponible pour ces acteurs « dont nous savons qu’elles sont solvables et disposent de revenus pour avoir accès au crédit bancaire » a-t-il précisé.
Sur la question de la seconde phase de la campagne d’information et de sensibilisation sur le CMDH, le ministre Bruno Koné a fait savoir que cette activité vient combler un réel déficit d’informations au niveau des acteurs du secteur. Pour lui, les différents acteurs n’ont pas assez d’information c’est pourquoi il a invité les participants à tabler sur les questions et stratégies de communication pour relever les différents défis.
Siaka Fanny, président du CDMH, a indiqué que les deux thèmes débattus à savoir « Le crédit immobilier et le rôle du CDMH dans le financement du logement économique et social » et « le processus de délivrance des actes notariés dans le cadre des crédits immobiliers éligibles au CDMH » devraient permettre une meilleure compréhension de la notion de crédit acquéreur, une bonne maitrise du processus notarial et une meilleure compréhension des frais d’établissement des actes notariés dans le cadre des crédits éligibles au CDMH.
Cyprien K.