En six ans, les grands chantiers entrepris par le gouvernement et le conseil régional dans l’Indénié-Djablin ont transformé la physionomie de la région qui bénéficie de nombreuses infrastructures modernes.
Les importants projets de modernisation touchent tous les axes du développement à savoir l’éducation, la santé, l’électricité et la route. Les dernières actions engagées ont été rendues possibles grâce au programme social du gouvernement 2019-2020.
Le pont de Bettié espoir de la région
En matière d’infrastructures routières, le premier changement notable dans la région, c’est le bitumage de l’axe Adzopé-Agnibilékrou passant par Abengourou. Ensuite la construction du pont de Bettié sur le fleuve Comoé, réclamé depuis des décennies par les populations. Ce pont constitue un véritable espoir et les travaux restent sans conteste historiques dans le développement de la région. L’ouvrage a permis le désenclavement du département de Bettié grande zone de production d’hévéa située à 95 km d’Abengourou.
Le bitumage de l’axe Adzopé-Yakassé Attobrou- Bettié et les chefs-lieux de département Abengourou, Agnibilékrou et Béttié ayant bénéficié de plusieurs kilomètres de bitume sont appréciés par les populations. Le projet d’appui aux infrastructures agricoles dans l’Indénié-Djuablin (PAIA-ID) a permis de réhabiliter plusieurs pistes dans les localités de Zaranou, Béttié, Appropronon, Aniassué et de désenclaver presque tous les villages à travers la construction d’ouvrages de franchissement sur les rivières qui rendaient presque inaccessibles ces zones pendant les fortes pluies.
« Toutefois, pour un total désenclavement, le bitumage du tronçon reliant Betiié au chef-lieu de région Abengourou et Bettié Aboisso est nécessaire » font savoir les populations.
L’indénié-Djuablin, première région à atteindre un taux de d’électrification de 98 %
Les acquis en matière d’adduction d’eau et surtout en électricité sont importants.
Grâce au projet national d’électrification rurale (PRONER), le taux d’électrification qui était de 22 % en 2013 a été porté à 98 % en 2019 sur l’ensemble du territoire régional « classant notre région première en matière d’électrification en Côte d’Ivoire », s'est réjoui le président Pascal Abinan Kouakou lors de la quatrième session du Conseil Régional. « Ce taux sera porté à 100 % à fin 2020 », a promis le président du Conseil régional.
La région de l’Indénié-Djuablin compte trois départements, 14 sous-préfectures et 400 villages. Plusieurs de ces villages ont été équipés en hydraulique villageoise améliorée (HVA). Cent (100) pompes ont été réhabilitées dans les villages et les chefs-lieux de sous-préfecture ont bénéficié d’un renforcement de leur réseau d’adduction d’eau potable.
L’Éducation et la santé une place de choix pour le Conseil régional
L’éducation occupe une place de choix dans la politique du Conseil Régional de l’Indénié-Djuablin. Le conseil a fait construire cinq collèges de proximité dans les chefs-lieux de sous-préfecture, à Sankadiokro dans le département d’Abengourou, Diamarakro dans le département de Béttié, et les collèges d’Akoboissué et de Damé dans le département d’Agnibilékrou.
Des écoles primaires et écoles maternelles ont été construites et inaugurées dans les localités d’Assèkro, AmianKouassikro, Tahakro, Bokakokoré, Yaobakikro, Kangakro, Ehuasso, Apoisso. L’ouverture de cinq inspections de l’enseignement préscolaire et primaire dans la région qui se vante d’un taux de scolarisation « le plus élevé » sans toutefois avancer de chiffre.
Dans le domaine de la santé, tous les villages des sous-préfectures sont dotés de centres de santé et équipés. Dix ambulances ont été offertes aux centres de santé de la région. L’ouverture en 2017 de l’antenne de I'NFAS à Abengourou reste un fait marquant.
Sécurité et protection civile
Le Conseil a procédé le 13 septembre 2019 à l’ouverture du Centre de secours d’urgence (CSU) de l’Indénié-Djuablin nouvellement réhabilité avec l’installation des pompiers civils présents dans la ville depuis quatre ans. Après la création d’une brigade de gendarmerie à Amélékia, Aniassué, et Tanguelan le conseil entend poursuivre dans tous les chefs-lieux de sous-préfecture de la région.
Dans sa politique environnementale, le conseil Régional a développé dans les chefs-lieux de sous-préfectures, un projet «innovateur » de gestion des ordures dans les localités hors périmètre communal en réalisant un taux de collecte de 100 %. Une initiative qui a inspiré l’Agence nationale de gestion des déchets (ANAGED). Le conseil régional de l’Indénié-Djuablin première collectivité en Côte d’Ivoire à réussir ce projet unique a reçu le titre d’ambassadeur de la salubrité.
La région de l’indénié-Djuablin bénéficie jusqu’à ce jour de la construction de nombreux marchés, de foyers polyvalents et s’est dotée d’une station météo dans la localité d’Améyakro.
La paix et la stabilité des institutions traditionnelles atouts premiers du développement de la région
La réalisation des actions engagées grâce au PSG-gouv 2019-2020 et le bilan « largement positif » obtenu fait de l’Indénié-Djuablin, une des premières régions au plan national dans les domaines clés des infrastructures économiques, sociales et culturelles, de l’éducation, de la santé et de l’agriculture.
Ces succès reposent sur deux atouts principaux. « D’abord, la paix, notre héritage le plus précieux et elle puise ses fondements dans la diversité de nos populations et la parfaite entente qui unit nos populations au-delà des différences religieuses, ethniques et idéologiques », a fait savoir le ministre de l’emploi et de la protection sociale
L’autre atout majeur, a-t-il souligné, c’est la stabilité des institutions, notamment la chefferie traditionnelle grande autorité morale à l’image des rois Boa Kouassi III de l’Indénié et Agnibilé Bilé II du Djuablin, est un relais clé des messages et un canal de sensibilisation au développement pour tous dans l’Indénié-Djuablin.
(AIP)
nam/ask
Les importants projets de modernisation touchent tous les axes du développement à savoir l’éducation, la santé, l’électricité et la route. Les dernières actions engagées ont été rendues possibles grâce au programme social du gouvernement 2019-2020.
Le pont de Bettié espoir de la région
En matière d’infrastructures routières, le premier changement notable dans la région, c’est le bitumage de l’axe Adzopé-Agnibilékrou passant par Abengourou. Ensuite la construction du pont de Bettié sur le fleuve Comoé, réclamé depuis des décennies par les populations. Ce pont constitue un véritable espoir et les travaux restent sans conteste historiques dans le développement de la région. L’ouvrage a permis le désenclavement du département de Bettié grande zone de production d’hévéa située à 95 km d’Abengourou.
Le bitumage de l’axe Adzopé-Yakassé Attobrou- Bettié et les chefs-lieux de département Abengourou, Agnibilékrou et Béttié ayant bénéficié de plusieurs kilomètres de bitume sont appréciés par les populations. Le projet d’appui aux infrastructures agricoles dans l’Indénié-Djuablin (PAIA-ID) a permis de réhabiliter plusieurs pistes dans les localités de Zaranou, Béttié, Appropronon, Aniassué et de désenclaver presque tous les villages à travers la construction d’ouvrages de franchissement sur les rivières qui rendaient presque inaccessibles ces zones pendant les fortes pluies.
« Toutefois, pour un total désenclavement, le bitumage du tronçon reliant Betiié au chef-lieu de région Abengourou et Bettié Aboisso est nécessaire » font savoir les populations.
L’indénié-Djuablin, première région à atteindre un taux de d’électrification de 98 %
Les acquis en matière d’adduction d’eau et surtout en électricité sont importants.
Grâce au projet national d’électrification rurale (PRONER), le taux d’électrification qui était de 22 % en 2013 a été porté à 98 % en 2019 sur l’ensemble du territoire régional « classant notre région première en matière d’électrification en Côte d’Ivoire », s'est réjoui le président Pascal Abinan Kouakou lors de la quatrième session du Conseil Régional. « Ce taux sera porté à 100 % à fin 2020 », a promis le président du Conseil régional.
La région de l’Indénié-Djuablin compte trois départements, 14 sous-préfectures et 400 villages. Plusieurs de ces villages ont été équipés en hydraulique villageoise améliorée (HVA). Cent (100) pompes ont été réhabilitées dans les villages et les chefs-lieux de sous-préfecture ont bénéficié d’un renforcement de leur réseau d’adduction d’eau potable.
L’Éducation et la santé une place de choix pour le Conseil régional
L’éducation occupe une place de choix dans la politique du Conseil Régional de l’Indénié-Djuablin. Le conseil a fait construire cinq collèges de proximité dans les chefs-lieux de sous-préfecture, à Sankadiokro dans le département d’Abengourou, Diamarakro dans le département de Béttié, et les collèges d’Akoboissué et de Damé dans le département d’Agnibilékrou.
Des écoles primaires et écoles maternelles ont été construites et inaugurées dans les localités d’Assèkro, AmianKouassikro, Tahakro, Bokakokoré, Yaobakikro, Kangakro, Ehuasso, Apoisso. L’ouverture de cinq inspections de l’enseignement préscolaire et primaire dans la région qui se vante d’un taux de scolarisation « le plus élevé » sans toutefois avancer de chiffre.
Dans le domaine de la santé, tous les villages des sous-préfectures sont dotés de centres de santé et équipés. Dix ambulances ont été offertes aux centres de santé de la région. L’ouverture en 2017 de l’antenne de I'NFAS à Abengourou reste un fait marquant.
Sécurité et protection civile
Le Conseil a procédé le 13 septembre 2019 à l’ouverture du Centre de secours d’urgence (CSU) de l’Indénié-Djuablin nouvellement réhabilité avec l’installation des pompiers civils présents dans la ville depuis quatre ans. Après la création d’une brigade de gendarmerie à Amélékia, Aniassué, et Tanguelan le conseil entend poursuivre dans tous les chefs-lieux de sous-préfecture de la région.
Dans sa politique environnementale, le conseil Régional a développé dans les chefs-lieux de sous-préfectures, un projet «innovateur » de gestion des ordures dans les localités hors périmètre communal en réalisant un taux de collecte de 100 %. Une initiative qui a inspiré l’Agence nationale de gestion des déchets (ANAGED). Le conseil régional de l’Indénié-Djuablin première collectivité en Côte d’Ivoire à réussir ce projet unique a reçu le titre d’ambassadeur de la salubrité.
La région de l’indénié-Djuablin bénéficie jusqu’à ce jour de la construction de nombreux marchés, de foyers polyvalents et s’est dotée d’une station météo dans la localité d’Améyakro.
La paix et la stabilité des institutions traditionnelles atouts premiers du développement de la région
La réalisation des actions engagées grâce au PSG-gouv 2019-2020 et le bilan « largement positif » obtenu fait de l’Indénié-Djuablin, une des premières régions au plan national dans les domaines clés des infrastructures économiques, sociales et culturelles, de l’éducation, de la santé et de l’agriculture.
Ces succès reposent sur deux atouts principaux. « D’abord, la paix, notre héritage le plus précieux et elle puise ses fondements dans la diversité de nos populations et la parfaite entente qui unit nos populations au-delà des différences religieuses, ethniques et idéologiques », a fait savoir le ministre de l’emploi et de la protection sociale
L’autre atout majeur, a-t-il souligné, c’est la stabilité des institutions, notamment la chefferie traditionnelle grande autorité morale à l’image des rois Boa Kouassi III de l’Indénié et Agnibilé Bilé II du Djuablin, est un relais clé des messages et un canal de sensibilisation au développement pour tous dans l’Indénié-Djuablin.
(AIP)
nam/ask
