Réuni en congrès ce dimanche dans les locaux de la représentation de l’ASECNA Côte d’Ivoire dans la zone aéroportuaire, le syndicat des Aiguilleurs du Ciel en Côte d’Ivoire (SYNACCI) veut pleinement jouer le rôle qui est sien à travers le perfectionnement du métier.
Ce 3e congrès ordinaire qui avait pour thème : " Contribution du Synacci à un processus de certification réussi des aéroports de Côte d’Ivoire ", devrait, selon Moussa Sangaré, Secrétaire Général du syndicat, permettre à ces professionnels de l’aviation civile de proposer des pistes réelles de certification des aéroports par le diagnostic des forces et faiblesses de leur corporation.
« Nous voulons sensibiliser nos confrères sur les normes de l’Organisation Internationale de l’Aviation Civile afin que par une bonne maîtrise de ses critères de notations, le contrôleur aérien ne soit pas le maillon faible de ce processus de certification » a t-il indiqué.
Représentant le ministre des transports, M. Diop, conseiller technique a traduit les félicitations du ministre aux contrôleurs aériens pour leurs performances. Il les a invités à demeurer des acteurs clés du développement du secteur aérien par leur professionnalisme.
« L’Afrique connaitra une croissance du transport aérien dans les années à venir. Nous serons très attentifs aux propositions concrètes que vous ferez à travers ce thème de clairvoyance » souligna t-il.
Le contrôleur aérien ou encore l’aiguilleur du ciel est chargé de la gestion des trafics aériens. Il assure la sécurité des vols en l’aire et au sol à travers des indications précises qu’il communique au pilote.
En dépit de l’importance de leur corporation, le métier de contrôleur aérien reste très peu connu du grand public.
P. R
Ce 3e congrès ordinaire qui avait pour thème : " Contribution du Synacci à un processus de certification réussi des aéroports de Côte d’Ivoire ", devrait, selon Moussa Sangaré, Secrétaire Général du syndicat, permettre à ces professionnels de l’aviation civile de proposer des pistes réelles de certification des aéroports par le diagnostic des forces et faiblesses de leur corporation.
« Nous voulons sensibiliser nos confrères sur les normes de l’Organisation Internationale de l’Aviation Civile afin que par une bonne maîtrise de ses critères de notations, le contrôleur aérien ne soit pas le maillon faible de ce processus de certification » a t-il indiqué.
Représentant le ministre des transports, M. Diop, conseiller technique a traduit les félicitations du ministre aux contrôleurs aériens pour leurs performances. Il les a invités à demeurer des acteurs clés du développement du secteur aérien par leur professionnalisme.
« L’Afrique connaitra une croissance du transport aérien dans les années à venir. Nous serons très attentifs aux propositions concrètes que vous ferez à travers ce thème de clairvoyance » souligna t-il.
Le contrôleur aérien ou encore l’aiguilleur du ciel est chargé de la gestion des trafics aériens. Il assure la sécurité des vols en l’aire et au sol à travers des indications précises qu’il communique au pilote.
En dépit de l’importance de leur corporation, le métier de contrôleur aérien reste très peu connu du grand public.
P. R