A la suite d’un affrontement qui a opposé deux communautés issues de deux villages voisins le 27 janvier 2020 dernier dans la commune de Bouaflé, la société civile ivoirienne, à travers la Plateforme Panafricaine des Femmes et des Jeunes pour la Démocratie, la Bonne Gouvernance et la Paix (2PFJ) et le Conseil des Jeunes de l’Entente (CJE), a effectué une mission de réconciliation le Samedi 01 février 2020 dans les villages d’Adaykro et de Garango auprès des communautés en conflit.
Il s’agissait pour le chef de la délégation, Josué Vah Yao, président de ladite Plateforme, d’échanger avec la communauté Baoulé d’Adaykro en présence de son chef, Nanan Kouamé Amani, et de ses notables, pour s’imprégner des causes réelles de ces affrontements. Ces échanges ont été suivis d’une visite sur le théâtre du conflit pour appréhender les dégâts matériels causés, notamment les habitations détruites au feu.
La délégation s’est rendue, par la suite, dans le village voisin, à Garango ou vit la communauté burkinabè pour la même cause auprès de M. YODA BAKARY, chef de la communauté et les leaders de jeunes et des femmes.
La mission a été assistée à toutes les étapes par M. Hugues N’dia, 2ème adjoint au maire de Bouaflé qui a prôné la paix à l’attention de ses populations.
S’adressant à ces populations en palabres, Vah Yao Josué a expliqué son rôle de leader de la société civile impartial et à la solde d’aucun camp avant de condamner les incidents survenus. « Préservons la paix, la cohésion, l‘union entre nos communautés. La Côte d’Ivoire compte sur Garango et Adaykro pour relever le défi de la stabilité, de la réconciliation, et de la dynamisation de son économie ».
Le président du Parlement des Jeunes a relevé des incompréhensions qui, a-t-il souligné ne devrait en rien perturber la cohabitation entre les protagonistes. « Ce sont des incompréhensions et la méconnaissance de la loi sur le foncier rural, la méconnaissance des principes de la vie en communauté », a indiqué le président Vah Yao Josué, qui a promis repartir sur les lieux dans les toutes prochaines semaines pour sceller définitivement l’union et la paix à travers la mise en place d’un comité de crise tripartite.
Notons que cette mission avait pour objectif, d’abord d’écouter les deux communautés en conflit sur les causes du conflit, ensuite de les sensibiliser sur la nécessité de la cohésion sociale, de l’intégration, enfin l’importance du vivre ensemble gage d’une paix durable. Il s’est agit d’appréhender la situation afin de trouver des solutions idoines pour la résolution définitive de ce genre de conflit.
F.D.B
Il s’agissait pour le chef de la délégation, Josué Vah Yao, président de ladite Plateforme, d’échanger avec la communauté Baoulé d’Adaykro en présence de son chef, Nanan Kouamé Amani, et de ses notables, pour s’imprégner des causes réelles de ces affrontements. Ces échanges ont été suivis d’une visite sur le théâtre du conflit pour appréhender les dégâts matériels causés, notamment les habitations détruites au feu.
La délégation s’est rendue, par la suite, dans le village voisin, à Garango ou vit la communauté burkinabè pour la même cause auprès de M. YODA BAKARY, chef de la communauté et les leaders de jeunes et des femmes.
La mission a été assistée à toutes les étapes par M. Hugues N’dia, 2ème adjoint au maire de Bouaflé qui a prôné la paix à l’attention de ses populations.
S’adressant à ces populations en palabres, Vah Yao Josué a expliqué son rôle de leader de la société civile impartial et à la solde d’aucun camp avant de condamner les incidents survenus. « Préservons la paix, la cohésion, l‘union entre nos communautés. La Côte d’Ivoire compte sur Garango et Adaykro pour relever le défi de la stabilité, de la réconciliation, et de la dynamisation de son économie ».
Le président du Parlement des Jeunes a relevé des incompréhensions qui, a-t-il souligné ne devrait en rien perturber la cohabitation entre les protagonistes. « Ce sont des incompréhensions et la méconnaissance de la loi sur le foncier rural, la méconnaissance des principes de la vie en communauté », a indiqué le président Vah Yao Josué, qui a promis repartir sur les lieux dans les toutes prochaines semaines pour sceller définitivement l’union et la paix à travers la mise en place d’un comité de crise tripartite.
Notons que cette mission avait pour objectif, d’abord d’écouter les deux communautés en conflit sur les causes du conflit, ensuite de les sensibiliser sur la nécessité de la cohésion sociale, de l’intégration, enfin l’importance du vivre ensemble gage d’une paix durable. Il s’est agit d’appréhender la situation afin de trouver des solutions idoines pour la résolution définitive de ce genre de conflit.
F.D.B