La phase finale du concours de projets féminins dénommé « Africa green lady day », dont le thème : « Femmes et développement durable », a mis en compétition de treize femmes le samedi 15 février dernier, à Abidjan. Ce projet, porté par les femmes, est une réponse et une contribution à la promotion du développement durable. « Africa green lady day » a été aussi l’occasion de faire la mobilisation des ressources pour les financements des projets pour contribuer à l’autonomisation de la femme africaine.
Cette première édition est placée sous la présidence du ministre de l’Assainissement et de la salubrité Anne Désirée Ouloto et le haut parrainage du Dr Gustave Aboua , directeur général (DG) de l’Environnement et du développement durable.
La première place de ce concours a été remportée par le projet intitulé : « mon arbre fruitier », qui réunit le caractère écologique, social et économique, porté par le capitaine Blé Emily. Il est suivi du projet : « un monde durable pour des enfants éco-citoyens », présenté par N’Guessan Akissi, et la troisième place qui a été occupée par Adou Nathalie avec le projet : « recyclage et revalorisation des pneus usés ».
Selon la super lauréate, gagner le challenge du développement durable, passera par le ‘’planting’’ d’arbre fruitier qui servira à la consommation, la commercialisation et participera au bien-être et à la santé.
« Mon projet touche à toutes les classes sociales ivoiriennes. J’ai pensé à faire reboiser les espaces déboisés par des arbres fruitiers plutôt que des arbres par chaque Ivoirien », a confié capitaine Blé Emily, estimant le coût dudit projet à 250 millions Fcfa par sous-préfecture sur une période de 4 ans, le temps de voir les arbres fruitiers produire.
En outre, Saran Ouattara, Directrice générale de l’Agence nationale de gestion des déchets (ANAGED), représentante de la présidente de la cérémonie, a encouragé et félicité l’initiative et ses organisateurs.
Elle a soutenu par ailleurs que depuis la fin des années 80 et le début des années 90, l’un des plus grands défis des Etats et des gouvernements, c’est bien la promotion du développement durable. Et ce, tel que défini dans les rapports Brundtland (1987) et officialisé lors du sommet de la Terre à Rio en 1992, à savoir un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations du futur à répondre à leurs besoins environnementaux.
Le promoteur du concours, organisé par First Company and Partners, Moni N’Guessan, a souligné que ce projet, qui devrait s’étendre dans la sous-région, vise à contribuer à la consolidation de la paix sociale autour des problématiques de développement durable. La prochaine édition se tiendra au Burkina Faso.
JOB
Cette première édition est placée sous la présidence du ministre de l’Assainissement et de la salubrité Anne Désirée Ouloto et le haut parrainage du Dr Gustave Aboua , directeur général (DG) de l’Environnement et du développement durable.
La première place de ce concours a été remportée par le projet intitulé : « mon arbre fruitier », qui réunit le caractère écologique, social et économique, porté par le capitaine Blé Emily. Il est suivi du projet : « un monde durable pour des enfants éco-citoyens », présenté par N’Guessan Akissi, et la troisième place qui a été occupée par Adou Nathalie avec le projet : « recyclage et revalorisation des pneus usés ».
Selon la super lauréate, gagner le challenge du développement durable, passera par le ‘’planting’’ d’arbre fruitier qui servira à la consommation, la commercialisation et participera au bien-être et à la santé.
« Mon projet touche à toutes les classes sociales ivoiriennes. J’ai pensé à faire reboiser les espaces déboisés par des arbres fruitiers plutôt que des arbres par chaque Ivoirien », a confié capitaine Blé Emily, estimant le coût dudit projet à 250 millions Fcfa par sous-préfecture sur une période de 4 ans, le temps de voir les arbres fruitiers produire.
En outre, Saran Ouattara, Directrice générale de l’Agence nationale de gestion des déchets (ANAGED), représentante de la présidente de la cérémonie, a encouragé et félicité l’initiative et ses organisateurs.
Elle a soutenu par ailleurs que depuis la fin des années 80 et le début des années 90, l’un des plus grands défis des Etats et des gouvernements, c’est bien la promotion du développement durable. Et ce, tel que défini dans les rapports Brundtland (1987) et officialisé lors du sommet de la Terre à Rio en 1992, à savoir un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations du futur à répondre à leurs besoins environnementaux.
Le promoteur du concours, organisé par First Company and Partners, Moni N’Guessan, a souligné que ce projet, qui devrait s’étendre dans la sous-région, vise à contribuer à la consolidation de la paix sociale autour des problématiques de développement durable. La prochaine édition se tiendra au Burkina Faso.
JOB
