De vridi cité à la plage de Port-bouet dans la partie sud de la capitale ivoirienne, le parti écologique de Côte d’Ivoire à effectué " la marche verte" ce samedi 22 février pour attirer l’attention de tous sur la nécessité de la protection de l’environnement et du cadre de vie.
Fanfard, banderole, tee-shirt imprimé et chants, tous les canaux ont été utilisé pour faire passer le message « Tous verts » tout on long du circuit.
Cette marche marque le début des activités du parti écologique avant la rentrée politique qui se tiendra le 6 mars prochain dans la ville de guibéroua.
Pour ce parti qui met la protection de l’environnement au coeur de son projet de société, il était important de démarrer l’année politique par un acte fort.
« Il s’agit pour nous de marquer véritablement à travers des actes concrets sur le terrain, notre mission de lutte et de préservation de l’environnement en Côte d’Ivoire. Cela permettra d’eveiller les consciences » a expliqué, Claude Gohourou, président du parti.
En effet, chaque partie de la planète a ses réalités écologiques. En Côte d’Ivoire, 80% du couvert forestier à disparu. De 16 millions d’hectares de forêt en 1960, le couvert forestier est aujourd’hui à moins de 3%. L’étendue d’eau et les ressources naturelles sont en voie de disparition, la bio diversité n’existe quasiment plus. Le dangé est bien réel.
Pour le parti écologique, la question doit être mise sur la table de façon institutionnelle mais aussi de façon concrete . C’est pour cette raison que « le président de la république de Côte d’Ivoire doit être un écologiste » défend le parti.
« nous devons commencer par la pédagogie écologique. La question doit être une question de survie et de santé humaine. Nous devons sensibiliser les populations à adopter une attitude écocitoyenne » a soutenu le président du parti.
La " marche verte" s’est achevée par le nettoyage de la plage, qui, a été débarrassée des déchets plastiques.
Le parti écologique de Côte d’Ivoire, veut se positionner comme le fer de lance de la protection de l’environnement. Il prévoit un planting de 25 millions d’arbres et oeuvrer à faire de l’industrie touristique l’un des piliers de l’économie ivoirienne.
Atapointe
Fanfard, banderole, tee-shirt imprimé et chants, tous les canaux ont été utilisé pour faire passer le message « Tous verts » tout on long du circuit.
Cette marche marque le début des activités du parti écologique avant la rentrée politique qui se tiendra le 6 mars prochain dans la ville de guibéroua.
Pour ce parti qui met la protection de l’environnement au coeur de son projet de société, il était important de démarrer l’année politique par un acte fort.
« Il s’agit pour nous de marquer véritablement à travers des actes concrets sur le terrain, notre mission de lutte et de préservation de l’environnement en Côte d’Ivoire. Cela permettra d’eveiller les consciences » a expliqué, Claude Gohourou, président du parti.
En effet, chaque partie de la planète a ses réalités écologiques. En Côte d’Ivoire, 80% du couvert forestier à disparu. De 16 millions d’hectares de forêt en 1960, le couvert forestier est aujourd’hui à moins de 3%. L’étendue d’eau et les ressources naturelles sont en voie de disparition, la bio diversité n’existe quasiment plus. Le dangé est bien réel.
Pour le parti écologique, la question doit être mise sur la table de façon institutionnelle mais aussi de façon concrete . C’est pour cette raison que « le président de la république de Côte d’Ivoire doit être un écologiste » défend le parti.
« nous devons commencer par la pédagogie écologique. La question doit être une question de survie et de santé humaine. Nous devons sensibiliser les populations à adopter une attitude écocitoyenne » a soutenu le président du parti.
La " marche verte" s’est achevée par le nettoyage de la plage, qui, a été débarrassée des déchets plastiques.
Le parti écologique de Côte d’Ivoire, veut se positionner comme le fer de lance de la protection de l’environnement. Il prévoit un planting de 25 millions d’arbres et oeuvrer à faire de l’industrie touristique l’un des piliers de l’économie ivoirienne.
Atapointe