Le sous-préfet de Sangouiné, Konan Guillaume, a procédé lundi au lancement de l’opération d’enrôlement pour la carte nationale d’identité (CNI), en présence de plusieurs autorités locales.
« Ce sont les instructions du gouvernement, lesquelles instructions nous demandent d’établir notre carte d’identité. C’est un devoir civique. (...)», a indiqué Guillaume Konan, soulignant l’importance de cette pièce pour toute démarche administrative et bancaire.
Le directeur régional de l’Office national de l’état civil et de l’identification (ONECI), Bakayoko Abdoulaye, a expliqué pour sa part qu'en plus des cinq centres d’enrôlement des populations, il y aura des équipes mobiles pour couvrir tous les villages et hameaux de Sangouiné.
Il a appelé les populations à déclarer la naissance de leur progéniture pour l’établissement de leurs extraits de naissance, document qui intervient dans la confection de la CNI.
En outre, le maire de Sangouiné, Dion Rémi, a payé 350.000 FCFA représentant les frais d'établissement de la CNI pour des jeunes, des femmes et des chefs coutumiers.
A terme, en tant que président du mouvement « RHDP du Tonpki rural », Dion Rémi compte étendre cette générosité à 1000 personnes pour 5 millions de francs CFA.
(AIP)
amak/ask
« Ce sont les instructions du gouvernement, lesquelles instructions nous demandent d’établir notre carte d’identité. C’est un devoir civique. (...)», a indiqué Guillaume Konan, soulignant l’importance de cette pièce pour toute démarche administrative et bancaire.
Le directeur régional de l’Office national de l’état civil et de l’identification (ONECI), Bakayoko Abdoulaye, a expliqué pour sa part qu'en plus des cinq centres d’enrôlement des populations, il y aura des équipes mobiles pour couvrir tous les villages et hameaux de Sangouiné.
Il a appelé les populations à déclarer la naissance de leur progéniture pour l’établissement de leurs extraits de naissance, document qui intervient dans la confection de la CNI.
En outre, le maire de Sangouiné, Dion Rémi, a payé 350.000 FCFA représentant les frais d'établissement de la CNI pour des jeunes, des femmes et des chefs coutumiers.
A terme, en tant que président du mouvement « RHDP du Tonpki rural », Dion Rémi compte étendre cette générosité à 1000 personnes pour 5 millions de francs CFA.
(AIP)
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