Abidjan- Un atelier sur l’actualisation de la politique nationale de la famille s’est ouvert jeudi à Abidjan, pour une meilleure protection et promotion de la cellule familiale.
« La politique nationale de la famille (PNF) vise à créer un cadre d’assistance, de protection et de promotion de la famille et s’inscrit dans la volonté du gouvernement d’offrir aux familles les moyens d’assurer leur mission de moteur de développement de la Côte d’Ivoire », a relevé la représentante du ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Dr Binaté-Fofana Namizata, à l’ouverture de l’atelier.
Elle a invité les participants à apporter des réajustements utiles dans l’optique de donner une réponse aux préoccupations majeures qu’impose la nouvelle vision du gouvernement en faveur de la famille ivoirienne.
“La réalisation de ce document de la PNF devra pouvoir mettre fin à toutes les formes de dysfonctionnement, de disparité ou de discrimination au sein des familles”, a-t-elle ajouté.
Durant deux jours, il sera question de recueillir les avis et observations des parties prenantes, de procéder à l’intégration des éléments de correction et de consolider le document.
Plus d’une vingtaine de participants venus de ministères cosignataires du document de la PNF, du système des Nations Unies et de la société civile prennent part aux travaux.
ena/ask
« La politique nationale de la famille (PNF) vise à créer un cadre d’assistance, de protection et de promotion de la famille et s’inscrit dans la volonté du gouvernement d’offrir aux familles les moyens d’assurer leur mission de moteur de développement de la Côte d’Ivoire », a relevé la représentante du ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Dr Binaté-Fofana Namizata, à l’ouverture de l’atelier.
Elle a invité les participants à apporter des réajustements utiles dans l’optique de donner une réponse aux préoccupations majeures qu’impose la nouvelle vision du gouvernement en faveur de la famille ivoirienne.
“La réalisation de ce document de la PNF devra pouvoir mettre fin à toutes les formes de dysfonctionnement, de disparité ou de discrimination au sein des familles”, a-t-elle ajouté.
Durant deux jours, il sera question de recueillir les avis et observations des parties prenantes, de procéder à l’intégration des éléments de correction et de consolider le document.
Plus d’une vingtaine de participants venus de ministères cosignataires du document de la PNF, du système des Nations Unies et de la société civile prennent part aux travaux.
ena/ask