Le sélectionneur national, en dépit du report des différentes échéances travaille à bâtir une équipe plus forte, à la reprise.
Nommé à la tête de la sélection nationale de Côte d’Ivoire le 4 février dernier, Patrice Beaumelle doit encore attendre quelques mois pour faire son baptême du feu. Autrefois dans l’ombre d’Hervé Renard qui l’a fait venir en Afrique, Beaumelle a l’occasion de se mettre en première ligne, sur le banc de touche des Éléphants, pour affronter directement les projecteurs.
Un moment excitant dans la carrière d’un entraîneur. Sauf que les tergiversations de la Confédération africaine de football (Caf) et la crise sanitaire mondiale liée au coronavirus retarde l’échéance. « Je suis déçu parce qu’on a envie de jouer. Mais... suite de l'article sur Fraternité Matin
Nommé à la tête de la sélection nationale de Côte d’Ivoire le 4 février dernier, Patrice Beaumelle doit encore attendre quelques mois pour faire son baptême du feu. Autrefois dans l’ombre d’Hervé Renard qui l’a fait venir en Afrique, Beaumelle a l’occasion de se mettre en première ligne, sur le banc de touche des Éléphants, pour affronter directement les projecteurs.
Un moment excitant dans la carrière d’un entraîneur. Sauf que les tergiversations de la Confédération africaine de football (Caf) et la crise sanitaire mondiale liée au coronavirus retarde l’échéance. « Je suis déçu parce qu’on a envie de jouer. Mais... suite de l'article sur Fraternité Matin