Abidjan- Les Émirats arabes unis ont annoncé samedi 1er août 2020, l'entrée en service de leur centrale nucléaire civile de Barakah, la première du monde arabe, dont la mise en service a été retardée à plusieurs reprises.
"Nous annonçons aujourd'hui que les Émirats arabes unis ont procédé, avec succès, à la mise en service du premier réacteur de la centrale de Barakah, la première du monde arabe", a tweeté le Premier ministre des Émirats et souverain de Dubaï, cheikh Mohammed ben Rached al-Maktoum, selon la presse internationale.
"C'est un moment historique pour les Émirats dans leur objectif de fournir une nouvelle forme d'énergie propre à la nation", a indiqué pour sa part le représentant des Émirats auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Hamad Alkaabi.
Le premier des quatre réacteurs devait être mis en service fin 2017. La date de démarrage a été reportée à plusieurs reprises pour remplir les conditions légales de sécurité, selon les responsables, .
La construction est effectuée par un consortium mené par l'Emirates Nuclear Energy Corporation et par l'entreprise sud-coréenne Korea Electric Power Corporation, pour un coût estimé à 24,4 milliards de dollars.
ena/ask
"Nous annonçons aujourd'hui que les Émirats arabes unis ont procédé, avec succès, à la mise en service du premier réacteur de la centrale de Barakah, la première du monde arabe", a tweeté le Premier ministre des Émirats et souverain de Dubaï, cheikh Mohammed ben Rached al-Maktoum, selon la presse internationale.
"C'est un moment historique pour les Émirats dans leur objectif de fournir une nouvelle forme d'énergie propre à la nation", a indiqué pour sa part le représentant des Émirats auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Hamad Alkaabi.
Le premier des quatre réacteurs devait être mis en service fin 2017. La date de démarrage a été reportée à plusieurs reprises pour remplir les conditions légales de sécurité, selon les responsables, .
La construction est effectuée par un consortium mené par l'Emirates Nuclear Energy Corporation et par l'entreprise sud-coréenne Korea Electric Power Corporation, pour un coût estimé à 24,4 milliards de dollars.
ena/ask