Le Gouvernement ivoirien a été invité, ce mardi 29 septembre 2020, à associer les parties prenant au développement urbain, notamment le secteur privé, afin de faciliter une évolution des villes.
C’était au cours du panel « les grandes villes catalyseurs de développement des régions » en marge de la conférence-débat, sur « la ville ivoirienne du futur catalyseur du développement des régions », placée sous l’égide du Ministère de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme.
« Il faut impliquer l’ensemble des parties prenantes pour définir le champ de vision, le mode de structuration, les modalités, le mécanisme. Une assise pour définir un grand schéma dans lequel des privés pourront venir prendre des plans. Une fois cela clairement défini, permettre à chacun de jouer un rôle précis et mettre des organismes de contrôle qui vont aller avec pour le suivi. C’est de cet écosystème qu’on parle » soutient Habib M’Bengue, Directeur général de la Société d’Habitations Modérées (SHM).
A l’en croire, « l’État n’a plus cet argent. Maintenant, il faut qu’il trouve le cadre pour susciter.
Mais au delà, M. M’Bengue insiste sur le fait « que le privé soit sécurisé suffisamment pour investir de la ressource »
Le privé ne va que là où c’est sécurisé. Tout ce que nous demandons c’est la sécurité. Parce qu’une fois qu’on aura sécurisé, nous pourrons convaincre qui que ce soit de venir investir parce que les retours sur investissements sont intéressants. Nous, nous sommes prêts.»
Par ailleurs, le DG de la SHM invite à supprimer les lotissements qui sont le début du désordre. « Un lotissement n’est pas un aménagement foncier. C’est faire des lots et tracer des voies. Du coup il n’y a pas d’équipements, pas d’assainissement et quand les gens viennent trouver des espaces soit disant aménagés alors que c’est simplement lotis on accumule les retards. Favorisons l’émergence des aménagements fonciers comme la CTU le faisais avant.»
L’idée générale qui ressort de ce panel auquel ont pris part Yao Bazin, urbaniste et Kouabenan Michel Kouassi, Architecte-Urbaniste au BNETD est que le développement des villes ne peut être pensé individuellement et les plans d’urbanisation devraient intégrer à la fois les métropoles et les villes satellites.
Atapointe
C’était au cours du panel « les grandes villes catalyseurs de développement des régions » en marge de la conférence-débat, sur « la ville ivoirienne du futur catalyseur du développement des régions », placée sous l’égide du Ministère de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme.
« Il faut impliquer l’ensemble des parties prenantes pour définir le champ de vision, le mode de structuration, les modalités, le mécanisme. Une assise pour définir un grand schéma dans lequel des privés pourront venir prendre des plans. Une fois cela clairement défini, permettre à chacun de jouer un rôle précis et mettre des organismes de contrôle qui vont aller avec pour le suivi. C’est de cet écosystème qu’on parle » soutient Habib M’Bengue, Directeur général de la Société d’Habitations Modérées (SHM).
A l’en croire, « l’État n’a plus cet argent. Maintenant, il faut qu’il trouve le cadre pour susciter.
Mais au delà, M. M’Bengue insiste sur le fait « que le privé soit sécurisé suffisamment pour investir de la ressource »
Le privé ne va que là où c’est sécurisé. Tout ce que nous demandons c’est la sécurité. Parce qu’une fois qu’on aura sécurisé, nous pourrons convaincre qui que ce soit de venir investir parce que les retours sur investissements sont intéressants. Nous, nous sommes prêts.»
Par ailleurs, le DG de la SHM invite à supprimer les lotissements qui sont le début du désordre. « Un lotissement n’est pas un aménagement foncier. C’est faire des lots et tracer des voies. Du coup il n’y a pas d’équipements, pas d’assainissement et quand les gens viennent trouver des espaces soit disant aménagés alors que c’est simplement lotis on accumule les retards. Favorisons l’émergence des aménagements fonciers comme la CTU le faisais avant.»
L’idée générale qui ressort de ce panel auquel ont pris part Yao Bazin, urbaniste et Kouabenan Michel Kouassi, Architecte-Urbaniste au BNETD est que le développement des villes ne peut être pensé individuellement et les plans d’urbanisation devraient intégrer à la fois les métropoles et les villes satellites.
Atapointe