A l’occasion d’un atelier d’engagement sur le processus et le rôle des différentes parties prenantes dans le Plan d’Action National Budgétisé de la Planification Familiale (PANBPF), qui s’est tenu ce lundi 7 décembre 2020, le chef du projet, Koffi Kouadio George, a invité l’Etat, à travers le ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique à impliquer les jeunes dans l’élaboration du nouveau plan d’action (2020-2021).
« Nous souhaitons que les jeunes soient associés à l’élaboration, à la revue et au suivi du Plan d’action national budgétisé de la planification familiale (PANBPF) parce qu’ils constituent plus de la moitié de la population. Ce sont eux qui sont confrontés aux phénomènes des grossesses non désirées et avortement clandestins », a plaidé Georges Kouadio, par ailleurs, Directeur-coordonnateur de l’ONG, Mission des jeunes pour l’éducation, la santé, la solidarité et l’inclusion (MESSI).
M. Kouadio souhaite notamment qu’il y ai une augmentation au niveau du budget pour l’achat de contraceptif pour les jeunes. « Ils peuvent être impliqués mais si le budget n’est pas élevé il y aura un autre problème »
Par ailleurs, il appel à la mise en place d’une plateforme unique afin de mieux faire entendre leur doléance. « Des organisations de jeunesse existent déjà, nous allons rassembler toutes les associations de jeunesse pour parler d’une même voix » a-t-il indiqué.
Le Dr Tanoh Gnou, Directeur coordonnateur du Programme national de santé, mère-enfant, a renchérit, travers l’ONG MESSI, pour plaider à la mise place d’une grande structure qui renferme toute la jeunesse ivoirienne, afin « d’améliorer et lever tout obstacle à l’accessibilité de la contraception et de la planification familiale. »
Poursuivant, il a souligné que c’est d’ailleurs pourquoi en Conseil des ministres, il a été décidé de faire en sorte que la Côte d’Ivoire s’aligne sur les autres pays comme le Sénégal en adoptant l’enquête démographique de santé continue : « Désormais, nos indicateurs de létalité obstétricale, néo-natale, en matière de nutrition, de paludisme seront des indicateurs de routine qui se feront tous les ans avec la correction.»
« Notre mission principale, c’est de traduire l’acte pris par le gouvernement en opérationnel, accompagner les districts sanitaires et les structures techniques du ministère de la Santé de telle sorte que ce qui a été signé puisse être mis en œuvre sur le terrain », a expliqué Dr Yao Ernest, directeur-pays de l’Ong Pathfinder international-Côte d’Ivoire, une ONG de droit américain exerçant dans le domaine Santé crée depuis 1957 et présente en Côte d’Ivoire depuis 2016.
Une vingtaine de participants, responsables et membres des différentes associations de jeunes, des représentants du Ministère de la santé, l’équipe en charge de l’élaboration du plan et les représentants du partenaire technique ont pris part à l’atelier.
PR
« Nous souhaitons que les jeunes soient associés à l’élaboration, à la revue et au suivi du Plan d’action national budgétisé de la planification familiale (PANBPF) parce qu’ils constituent plus de la moitié de la population. Ce sont eux qui sont confrontés aux phénomènes des grossesses non désirées et avortement clandestins », a plaidé Georges Kouadio, par ailleurs, Directeur-coordonnateur de l’ONG, Mission des jeunes pour l’éducation, la santé, la solidarité et l’inclusion (MESSI).
M. Kouadio souhaite notamment qu’il y ai une augmentation au niveau du budget pour l’achat de contraceptif pour les jeunes. « Ils peuvent être impliqués mais si le budget n’est pas élevé il y aura un autre problème »
Par ailleurs, il appel à la mise en place d’une plateforme unique afin de mieux faire entendre leur doléance. « Des organisations de jeunesse existent déjà, nous allons rassembler toutes les associations de jeunesse pour parler d’une même voix » a-t-il indiqué.
Le Dr Tanoh Gnou, Directeur coordonnateur du Programme national de santé, mère-enfant, a renchérit, travers l’ONG MESSI, pour plaider à la mise place d’une grande structure qui renferme toute la jeunesse ivoirienne, afin « d’améliorer et lever tout obstacle à l’accessibilité de la contraception et de la planification familiale. »
Poursuivant, il a souligné que c’est d’ailleurs pourquoi en Conseil des ministres, il a été décidé de faire en sorte que la Côte d’Ivoire s’aligne sur les autres pays comme le Sénégal en adoptant l’enquête démographique de santé continue : « Désormais, nos indicateurs de létalité obstétricale, néo-natale, en matière de nutrition, de paludisme seront des indicateurs de routine qui se feront tous les ans avec la correction.»
« Notre mission principale, c’est de traduire l’acte pris par le gouvernement en opérationnel, accompagner les districts sanitaires et les structures techniques du ministère de la Santé de telle sorte que ce qui a été signé puisse être mis en œuvre sur le terrain », a expliqué Dr Yao Ernest, directeur-pays de l’Ong Pathfinder international-Côte d’Ivoire, une ONG de droit américain exerçant dans le domaine Santé crée depuis 1957 et présente en Côte d’Ivoire depuis 2016.
Une vingtaine de participants, responsables et membres des différentes associations de jeunes, des représentants du Ministère de la santé, l’équipe en charge de l’élaboration du plan et les représentants du partenaire technique ont pris part à l’atelier.
PR