Aboisso- Le secrétariat exécutif du comité national de lutte contre la traite des personnes (CNLTP), assuré par le ministère de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de la Lutte contre la Pauvreté (MSCSLP), a ouvert mercredi 20 janvier 2021, un atelier visant à renforcer la coordination des actions de lutte contre la traite des personnes à Aboisso.
Pour ce faire, le séminaire réunit des représentants des ministères membres du CNLTP et du corps préfectoral ainsi que des ONG et des moniteurs du mécanisme d’alerte précoce de l’Observatoire de la solidarité et de la cohésion sociale (OSCS), des points focaux de la police, de la gendarmerie, des Douanes et des Eaux et Forêts.
Il s’agit pour les animateurs du séminaire de renforcer les capacités des apprenants sur des modules tels comprendre la traite des personnes et le trafic illicite des migrants (Notions et concepts), différences entre traite et trafic illicite de migrants, mécanisme d’alerte précoce et la technique de collecte de l’information en matière de solidarité et de cohésion sociale, cadre légal, institutionnel et programmatique de la lutte contre la traite entre autres.
Pour le secrétaire exécutif du CNLTP, la tenue de ce séminaire dans le Sud-Comoé fait suite aux préoccupations des populations quant à la lutte contre la traite des personnes. Aussi, l’atelier sera-t-il sanctionné par la formation d’un comité local de lutte contre la traite des personnes. Elle a expliqué que la mise en place de ce comité est d’autant plus important que la région du Sud-comoé constitue une zone de transit, de destination de recrutement.
Quant au directeur régional de la Femme, de la famille et de l’enfant du Sud-Comoé, Dako Dano, il s’est réjoui que ce séminaire regroupe des personnes travaillant au quotidien sur la question et permettra aux participants et aux travailleurs sociaux d’avoir un regard plus avisé sur la question.
Ce projet est financé par l’UE et mis en œuvre par « expertise France ».
La Côte d’Ivoire En tant que pays d’origine, de transit et de destination fait face à la migration irrégulière, à la traite des personnes et le trafic illicite des migrants. Afin de lutter contre ces formes de criminalité transnationale organisée, le gouvernement ivoirien a renforcé son arsenal législatif et institutionnel en adoptant plusieurs mesures telles la loi n° 2016-1111 du 8 décembre 2016, portant lutte contre la traite des personnes et créant le comité national de lutte contre la traite des personnes, le décret n° 2017-227 du 13 Avril, l’élaboration d’une stratégie nationale de lutte contre la traite des personnes, assortie d’un plan d’action quinquennal (2016-2020) entre autres.
Ouvert mercredi, cet atelier prendra fin vendredi.
Les arrestations de personnes pour traite de personnes sont courantes dans la région du Sud-Comoé notamment à Aboisso, note-on.
akn/fmo
Pour ce faire, le séminaire réunit des représentants des ministères membres du CNLTP et du corps préfectoral ainsi que des ONG et des moniteurs du mécanisme d’alerte précoce de l’Observatoire de la solidarité et de la cohésion sociale (OSCS), des points focaux de la police, de la gendarmerie, des Douanes et des Eaux et Forêts.
Il s’agit pour les animateurs du séminaire de renforcer les capacités des apprenants sur des modules tels comprendre la traite des personnes et le trafic illicite des migrants (Notions et concepts), différences entre traite et trafic illicite de migrants, mécanisme d’alerte précoce et la technique de collecte de l’information en matière de solidarité et de cohésion sociale, cadre légal, institutionnel et programmatique de la lutte contre la traite entre autres.
Pour le secrétaire exécutif du CNLTP, la tenue de ce séminaire dans le Sud-Comoé fait suite aux préoccupations des populations quant à la lutte contre la traite des personnes. Aussi, l’atelier sera-t-il sanctionné par la formation d’un comité local de lutte contre la traite des personnes. Elle a expliqué que la mise en place de ce comité est d’autant plus important que la région du Sud-comoé constitue une zone de transit, de destination de recrutement.
Quant au directeur régional de la Femme, de la famille et de l’enfant du Sud-Comoé, Dako Dano, il s’est réjoui que ce séminaire regroupe des personnes travaillant au quotidien sur la question et permettra aux participants et aux travailleurs sociaux d’avoir un regard plus avisé sur la question.
Ce projet est financé par l’UE et mis en œuvre par « expertise France ».
La Côte d’Ivoire En tant que pays d’origine, de transit et de destination fait face à la migration irrégulière, à la traite des personnes et le trafic illicite des migrants. Afin de lutter contre ces formes de criminalité transnationale organisée, le gouvernement ivoirien a renforcé son arsenal législatif et institutionnel en adoptant plusieurs mesures telles la loi n° 2016-1111 du 8 décembre 2016, portant lutte contre la traite des personnes et créant le comité national de lutte contre la traite des personnes, le décret n° 2017-227 du 13 Avril, l’élaboration d’une stratégie nationale de lutte contre la traite des personnes, assortie d’un plan d’action quinquennal (2016-2020) entre autres.
Ouvert mercredi, cet atelier prendra fin vendredi.
Les arrestations de personnes pour traite de personnes sont courantes dans la région du Sud-Comoé notamment à Aboisso, note-on.
akn/fmo