Un pré-atelier de réflexions sur les orientations stratégiques pour la préservation et le développement du littoral ivoirien a eu lieu le 11 février 2021 à Abidjan en présence des experts nationaux et de l’administration maritime ayant des compétences en matière de gestion durable de l’environnement maritime et côtier.
Organisé par le ministère chargé des affaires maritime, ce pré-atelier a pour objectif de « préparer à sensibiliser les communautés du littoral sur la prise en compte des principes de gestion durable de l’environnement marin dans les activités socio-économiques et à lutter contre les végétaux aquatiques envahissants et les macro-déchets afin de garantir une navigation sécurisée sur le plan d’eau lagunaire », a fait savoir le Ministre Philippe Légré.
Il a par ailleurs soutenu que dans le cadre de la politique de développement de la Côte d’Ivoire, le Président de la République, Alassane Ouattara est "résolument" engagé à s’appuyer davantage sur le secteur maritime. « Le concept d’économie bleue, qu’il ambitionne de développer, contribuera à faire du secteur maritime un levier important de notre économie. Nous tenons à assumer les responsabilités confiées par le président de la République », a-t-il assuré.
« Il s’agit ici de tracer les voies à suivre pour la préservation et le développement de l’environnement marin et du littoral. Comme indiqué par notre devise nationale, nous devons, dans l’union, la discipline et le travail, définir un programme de communication et d’actions efficaces pour garantir un environnement marin sûr et sécurisé. J’invite donc tous les participants à suivre activement et animer de façon constructive les échanges de ce pré-atelier » a conclu le Ministre.
Abou Bamba, Secrétaire Exécutif de la Convention de Coopération en matière de protection, de gestion et de développement de l’Environnement marin et côtier de la côte atlantique de l’Afrique de l’Ouest, Centrale et Australe, dite Convention d’Abidjan a quant à lui, salué le fait que 33 ans plus tard, la Côte d’Ivoire se dote d’un ministère souverain chargé des affaires maritimes avec toute la responsabilité en ce qui concerne les écosystèmes marins, les transports. Pour lui, il s’agit d’une opportunité pour la Côte d’Ivoire de redevenir une grande nation maritime.
A l’en croire, il est important pour le pays de s’adapter à la gouvernance maritime actuelle qui en plus des questions de transport maritime, traite d’autres termes tout aussi importants dont le développement et l’aménagement des régions côtières, le développement touristique, la lutte contre la pêche illégale, l’exploitation pétrolière, la lutte contre la piraterie maritime.
Pour terminer, il a assuré que les partenaires se tiennent aux cotés du gouvernement ivoirien et ne ménagerons aucun effort pour aboutir à une politique maritime qui tienne compte à la fois des objectifs de développement socio-économique et aussi de conservation et de préservation de l’écosystème marin et côtier, sans lesquels aucun développement maritime n’est possible.
Les résultats de ce pré-atelier permettront de poser les bases d’une véritable politique de développement maritime sur les 560 km de côtes ivoiriennes.
P. R
Organisé par le ministère chargé des affaires maritime, ce pré-atelier a pour objectif de « préparer à sensibiliser les communautés du littoral sur la prise en compte des principes de gestion durable de l’environnement marin dans les activités socio-économiques et à lutter contre les végétaux aquatiques envahissants et les macro-déchets afin de garantir une navigation sécurisée sur le plan d’eau lagunaire », a fait savoir le Ministre Philippe Légré.
Il a par ailleurs soutenu que dans le cadre de la politique de développement de la Côte d’Ivoire, le Président de la République, Alassane Ouattara est "résolument" engagé à s’appuyer davantage sur le secteur maritime. « Le concept d’économie bleue, qu’il ambitionne de développer, contribuera à faire du secteur maritime un levier important de notre économie. Nous tenons à assumer les responsabilités confiées par le président de la République », a-t-il assuré.
« Il s’agit ici de tracer les voies à suivre pour la préservation et le développement de l’environnement marin et du littoral. Comme indiqué par notre devise nationale, nous devons, dans l’union, la discipline et le travail, définir un programme de communication et d’actions efficaces pour garantir un environnement marin sûr et sécurisé. J’invite donc tous les participants à suivre activement et animer de façon constructive les échanges de ce pré-atelier » a conclu le Ministre.
Abou Bamba, Secrétaire Exécutif de la Convention de Coopération en matière de protection, de gestion et de développement de l’Environnement marin et côtier de la côte atlantique de l’Afrique de l’Ouest, Centrale et Australe, dite Convention d’Abidjan a quant à lui, salué le fait que 33 ans plus tard, la Côte d’Ivoire se dote d’un ministère souverain chargé des affaires maritimes avec toute la responsabilité en ce qui concerne les écosystèmes marins, les transports. Pour lui, il s’agit d’une opportunité pour la Côte d’Ivoire de redevenir une grande nation maritime.
A l’en croire, il est important pour le pays de s’adapter à la gouvernance maritime actuelle qui en plus des questions de transport maritime, traite d’autres termes tout aussi importants dont le développement et l’aménagement des régions côtières, le développement touristique, la lutte contre la pêche illégale, l’exploitation pétrolière, la lutte contre la piraterie maritime.
Pour terminer, il a assuré que les partenaires se tiennent aux cotés du gouvernement ivoirien et ne ménagerons aucun effort pour aboutir à une politique maritime qui tienne compte à la fois des objectifs de développement socio-économique et aussi de conservation et de préservation de l’écosystème marin et côtier, sans lesquels aucun développement maritime n’est possible.
Les résultats de ce pré-atelier permettront de poser les bases d’une véritable politique de développement maritime sur les 560 km de côtes ivoiriennes.
P. R