Ce sont les apatrides ou les personnes « à risque d’apatridie » : ils n’ont pas de nationalité ou ont beaucoup de mal, faute de documents, à prouver cette nationalité ou un lien avec leur État d’origine. La Côte d’Ivoire met sur pied deux commissions pour permettre aux apatrides d’avoir un statut et donc des papiers pour se réinsérer dans la société. Une première en Afrique.
Avec notre correspondant à Abidjan, Pierre Pinto
En Côte d’Ivoire, selon le HCR, ils sont 1,6 million à appartenir à l’une ou l’autre des deux catégories. Sans acte de naissance, ni certificat de nationalité, ni pièce d’identité. Ils ne peuvent pas passer de diplôme, ni se faire soigner dans un hôpital, ni encore se marier ni plus d’ouvrir de compte bancaire.
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Avec notre correspondant à Abidjan, Pierre Pinto
En Côte d’Ivoire, selon le HCR, ils sont 1,6 million à appartenir à l’une ou l’autre des deux catégories. Sans acte de naissance, ni certificat de nationalité, ni pièce d’identité. Ils ne peuvent pas passer de diplôme, ni se faire soigner dans un hôpital, ni encore se marier ni plus d’ouvrir de compte bancaire.
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