La Journée internationale de la femme a été célébrée, samedi dernier, dans la sous-préfecture d’Aboudé. C’est le village d’Aboudé-Kouassikro qui a accueilli l’événement, en présence du doyen des cadres du canton Krobou, Jules Achi Ahouzi, vice-président du Pdci-Rda et fondateur de la Farandole internationale. Les femmes étaient conduites par le sous-préfet, Zéhi Eva. Cet administrateur civil a réussi à créer une symbiose entre les femmes des différents villages de la sous-préfecture. Accompagnées de leurs chefs de villages respectifs, elles sont venues d’Aboudé-Mandéké, Aboudé-Boi Vincent, Kouadjakro, Aboudé-Kouassikro et Aboudé-Dadié. C’est donc dans l’union totale que la fête s’est déroulée. Ce fut aussi l’occasion pour les mamans d’être instruites sur des sujets importants tels que la gestion financière, l’accouchement et l’apatridie.
En ce qui concerne la gestion financière, elles ont eu droit à un sketch les invitant à faire des épargnes, quelles que soient les activités qu’elles entreprennent. Un autre sketch sur l’accouchement leur a donné des enseignements sur l’importance de la consultation prénatale et les risques de l’accouchement à domicile. S’agissant de l’apatridie, le sous-préfet a fait venir des agents du HCR qui ont démontré les risques liés à la non-déclaration des naissances à l’état civil. Etait là également, le responsable régional du ministère de la Femme, de la famille et de l’enfant qui, lui aussi, a demandé aux mamans de bien encadrer les enfants et les mettre à l’abri des comportements déviants. Les femmes d’Aboudé sont présentées par leur sous-préfet comme des modèles, car elles ont fait des dons à la maternité, aux 5 écoles maternelles publiques, elles nettoient le village. La preuve qu’elles ont besoin de soutien pour plus d’actions. Et le soutien de leur marraine, Mme Nicole Ahouzi, représentée par son époux, Jules Ahouzi, ne leur a jamais fait défaut. Papa Ahouzi est parti les bras chargés de pagnes. Il a aussi appelé les mamans à être de bonnes conseillères pour leurs enfants.
J KOUADIO
En ce qui concerne la gestion financière, elles ont eu droit à un sketch les invitant à faire des épargnes, quelles que soient les activités qu’elles entreprennent. Un autre sketch sur l’accouchement leur a donné des enseignements sur l’importance de la consultation prénatale et les risques de l’accouchement à domicile. S’agissant de l’apatridie, le sous-préfet a fait venir des agents du HCR qui ont démontré les risques liés à la non-déclaration des naissances à l’état civil. Etait là également, le responsable régional du ministère de la Femme, de la famille et de l’enfant qui, lui aussi, a demandé aux mamans de bien encadrer les enfants et les mettre à l’abri des comportements déviants. Les femmes d’Aboudé sont présentées par leur sous-préfet comme des modèles, car elles ont fait des dons à la maternité, aux 5 écoles maternelles publiques, elles nettoient le village. La preuve qu’elles ont besoin de soutien pour plus d’actions. Et le soutien de leur marraine, Mme Nicole Ahouzi, représentée par son époux, Jules Ahouzi, ne leur a jamais fait défaut. Papa Ahouzi est parti les bras chargés de pagnes. Il a aussi appelé les mamans à être de bonnes conseillères pour leurs enfants.
J KOUADIO