Déscolarisation, avortement clandestin, rejet de la famille, les conséquences peuvent être dramatiques pour les quelque 3 000 à 5 000 mineures qui tombent enceintes chaque année en Côte d’Ivoire.
Kouamé s’en veut encore : « Si j’avais pu habiter avec ma fille, peut-être que tout cela ne serait pas arrivé ». Ce planteur de cacao qui réside en brousse a construit une maison pour ses enfants dans un quartier périphérique de Méagui, petite ville du sud-ouest de la Côte d’Ivoire où se trouve leur lycée. Conséquence : un manque d’encadrement responsable, selon lui, de la grossesse précoce de sa fille Edwige, à seulement 13 ans.
« Un bébé qui a un bébé »
« J’avais honte, mais je ne voulais pas arrêter l’école », confie l’adolescente d’une petite... suite de l'article sur La Croix.com
Kouamé s’en veut encore : « Si j’avais pu habiter avec ma fille, peut-être que tout cela ne serait pas arrivé ». Ce planteur de cacao qui réside en brousse a construit une maison pour ses enfants dans un quartier périphérique de Méagui, petite ville du sud-ouest de la Côte d’Ivoire où se trouve leur lycée. Conséquence : un manque d’encadrement responsable, selon lui, de la grossesse précoce de sa fille Edwige, à seulement 13 ans.
« Un bébé qui a un bébé »
« J’avais honte, mais je ne voulais pas arrêter l’école », confie l’adolescente d’une petite... suite de l'article sur La Croix.com