Les acteurs des auto-écoles ont pris part ce jeudi 6 mai 2021, Abidjan, Plateau à l’Assemblée Générale Extraordinaire de l’Union Nationale des Auto-Ecoles de Côte d’Ivoire (UNAECI), inscrit sous le thème « Opérationnalisation de la réforme du secteur du permis de conduire ».
A cette occasion, Guillaume Koko, président de l’UNAECI a plaidé pour la formation continue des professionnelles de la conduite.
« A chaque fois qu’il y a un accident, on montre du doigt les auto-écoles. Il faut comprendre qu’il y a la formation de base au permis de conduire et après celui qui l’a obtenu devient un conducteur professionnel. (…) Après avoir obtenu le permis, il faut un renforcement de capacité », a déclaré Guillaume Koko.
Selon le président de la faitière, toutes les auto-écoles qui remplissent les conditions sont à mesure de faire de la formation continue en entreprise.
«Nous reconnaissons notre part de responsabilité. Mais on ne peut pas dire de facto que nous sommes responsables des accidents de la circulation. (…) Les auto-écoles ne vendent pas le permis de conduire. Nous sommes des formateurs. C’est le ministère qui évalue et le ministre qui signe les permis.», a insisté M. Koko
Avant de réitérer l’engagement des auto-écoles à accompagner le ministère de tutelle dans la réforme du permis de conduire en Côte d’Ivoire.
Le vice-président de l’UNAECI, Lamine Cissé a pour sa part indiqué que les résolutions prises durant ses assises seront consignées dans un document et transmises à la tutelle.
L’Union Nationale des Auto-Ecoles de Côte d’Ivoire a vu le jour en 2014. Elle revendique plus de 400 auto-écoles répartis sur l’ensemble du territoire ivoirien.
Afin de réduire significativement des accidents de la circulation, le Ministre des transports a suspendu le 26 avril dernier, les inspecteurs chargés des examens théoriques et pratiques du permis de conduire afin d’assainir le secteur.
CT
A cette occasion, Guillaume Koko, président de l’UNAECI a plaidé pour la formation continue des professionnelles de la conduite.
« A chaque fois qu’il y a un accident, on montre du doigt les auto-écoles. Il faut comprendre qu’il y a la formation de base au permis de conduire et après celui qui l’a obtenu devient un conducteur professionnel. (…) Après avoir obtenu le permis, il faut un renforcement de capacité », a déclaré Guillaume Koko.
Selon le président de la faitière, toutes les auto-écoles qui remplissent les conditions sont à mesure de faire de la formation continue en entreprise.
«Nous reconnaissons notre part de responsabilité. Mais on ne peut pas dire de facto que nous sommes responsables des accidents de la circulation. (…) Les auto-écoles ne vendent pas le permis de conduire. Nous sommes des formateurs. C’est le ministère qui évalue et le ministre qui signe les permis.», a insisté M. Koko
Avant de réitérer l’engagement des auto-écoles à accompagner le ministère de tutelle dans la réforme du permis de conduire en Côte d’Ivoire.
Le vice-président de l’UNAECI, Lamine Cissé a pour sa part indiqué que les résolutions prises durant ses assises seront consignées dans un document et transmises à la tutelle.
L’Union Nationale des Auto-Ecoles de Côte d’Ivoire a vu le jour en 2014. Elle revendique plus de 400 auto-écoles répartis sur l’ensemble du territoire ivoirien.
Afin de réduire significativement des accidents de la circulation, le Ministre des transports a suspendu le 26 avril dernier, les inspecteurs chargés des examens théoriques et pratiques du permis de conduire afin d’assainir le secteur.
CT