Les atteintes à l’intégrité des personnes sur une base ethnique identifiée comme telle à partir de la morphologie, sont à proscrire, a recommandé, jeudi 6 mai 2021, à Abengourou un formateur de l’Ong « Terre d’union » Honoré Kouadio lors d’un atelier de renforcement des capacités des leaders d’opinion locaux en matière gestion de l’information de prévention de discours d’incitation à la haine.
M. Kouadio s’adressait aux leaders des organisations des jeunes et des femmes des partis politiques des hommes des médias et animateurs de Foras, les influenceurs et les bloggeurs prenant part à la session de renforcement des capacités.
“Le fait de parler une langue ne fait pas d’un individu, membre d’une ethnie donnée alors que dans un contexte de conflit, les jeunes dressent des barrages pour faire le tri des membres des communautés sur la base de ses aspects”, s’est-il offusqué, appelant à proscrire ces violences, car “ces choses qui ont cours dans nos sociétés pendant les conflits, induisent en erreur (…) et suscitent les foyers de tensions”, a alerté l’expert en prévention de conflit.
L’atelier s’inscrit dans le cadre du projet conjoint PNUD, l’UNESCO, l’UNICEF, intitulé « les jeunes comme moteur de prévention des discours de haine et de conflits socio-politiques et communautaires » a permis d’instruire les leaders locaux sur les éléments constitutifs de la haine et sur la communication non-violente.
Il est organisé en collaboration avec le ministère de la Réconciliation et de la Cohésion nationale et la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix dans six localités, à savoir Yamoussoukro, Brobo, Bongouanou, Korhogo, Bondoukou et Abengourou.
L’objectif est de soutenir et impliquer davantage les jeunes leaders communautaires, les partis politiques et les hommes des médias à jouer un rôle actif dans la prévention des conflits dans ces zones.
(AIP)
nam/ask
M. Kouadio s’adressait aux leaders des organisations des jeunes et des femmes des partis politiques des hommes des médias et animateurs de Foras, les influenceurs et les bloggeurs prenant part à la session de renforcement des capacités.
“Le fait de parler une langue ne fait pas d’un individu, membre d’une ethnie donnée alors que dans un contexte de conflit, les jeunes dressent des barrages pour faire le tri des membres des communautés sur la base de ses aspects”, s’est-il offusqué, appelant à proscrire ces violences, car “ces choses qui ont cours dans nos sociétés pendant les conflits, induisent en erreur (…) et suscitent les foyers de tensions”, a alerté l’expert en prévention de conflit.
L’atelier s’inscrit dans le cadre du projet conjoint PNUD, l’UNESCO, l’UNICEF, intitulé « les jeunes comme moteur de prévention des discours de haine et de conflits socio-politiques et communautaires » a permis d’instruire les leaders locaux sur les éléments constitutifs de la haine et sur la communication non-violente.
Il est organisé en collaboration avec le ministère de la Réconciliation et de la Cohésion nationale et la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix dans six localités, à savoir Yamoussoukro, Brobo, Bongouanou, Korhogo, Bondoukou et Abengourou.
L’objectif est de soutenir et impliquer davantage les jeunes leaders communautaires, les partis politiques et les hommes des médias à jouer un rôle actif dans la prévention des conflits dans ces zones.
(AIP)
nam/ask
