Les parties prenantes des filières cacao, hévéa, palmier à huile et bois qui contribuent jusqu’à 62% de la déforestation en Côte d’Ivoire ont pris part le17 juin 2021 à Abidjan, à un dialogue national sur les produits agricoles et la déforestation en Côte d’Ivoire.
Organisé par l’alliance pour les forêts tropicales ( TFA) et le Forum Économique mondiale, cet atelier visait à mobiliser tous les acteurs des filières agricoles afin d’identifier les approches et actions communes pour réduire la déforestation associée à la production agricole. En effet, l’expansion de l’agriculture constitue l’un des principaux facteurs de la déforestation en Côte d’Ivoire.
Plusieurs projets dont l’initiative cacao et forêt, et des accords entre les filières hévéa et palmier à huile avec la REDD + pour éliminer la déforestation dans leurs chaînes d’approvisionnement ont été lancés mais de manière isolée.
Selon Sabali Meschi, de Africa Lead Tropical forest Alliance, il s’agissait de créer une synergie autour de ces actions pour les rendre plus efficace.
La Côte d’Ivoire a perdu plus de 60% de son couvert forestier passé de 16 millions d’hectares en 1960 à 3,4 millions au cours des dernières années, selon le Bureau National d’études Techniques et de Développement ( BNETD). Il y a donc urgence pour la restauration et la protection du couvert forestier national.
PR
Organisé par l’alliance pour les forêts tropicales ( TFA) et le Forum Économique mondiale, cet atelier visait à mobiliser tous les acteurs des filières agricoles afin d’identifier les approches et actions communes pour réduire la déforestation associée à la production agricole. En effet, l’expansion de l’agriculture constitue l’un des principaux facteurs de la déforestation en Côte d’Ivoire.
Plusieurs projets dont l’initiative cacao et forêt, et des accords entre les filières hévéa et palmier à huile avec la REDD + pour éliminer la déforestation dans leurs chaînes d’approvisionnement ont été lancés mais de manière isolée.
Selon Sabali Meschi, de Africa Lead Tropical forest Alliance, il s’agissait de créer une synergie autour de ces actions pour les rendre plus efficace.
La Côte d’Ivoire a perdu plus de 60% de son couvert forestier passé de 16 millions d’hectares en 1960 à 3,4 millions au cours des dernières années, selon le Bureau National d’études Techniques et de Développement ( BNETD). Il y a donc urgence pour la restauration et la protection du couvert forestier national.
PR