.jpg)
.jpg)
.jpg)
.jpg)
Nommés à la faveur du mouvement préfectoral du 27 mai dernier, 66 sous-préfets ont été formés du 21 au 24 juin, sur les rouages de leurs nouvelles fonctions à la Direction Générale de l’Administration du Territoire (DGAT).
Représentant le ministre de l’intérieur et de la Sécurité, Vagondo Diomandé à la clôture de cette formation, le 24 juin dernier, le directeur de cabinet Benjamin Effoly a invité les sous-préfets à s’impliquer davantage dans le renseignement et la remontée de l’information, pour participer à endiguer le phénomène du terrorisme qui sévit dans les contrées africaines.
« La Côte d’Ivoire a besoin d’être sécurisée. Les autorités administratives qui ont un maillage territorial parfait ne peuvent pas être en reste en tant que représentant de l’Etat. C’est pour cela je leur ai demandé de s’impliquer dans la recherche d’informations, dans le renseignement afin de pouvoir informer à temps leur hiérarchie », a déclaré Benjamin Effoly.
M. Effoly a aussi instruit ces autorités administratives, à travailler à estomper l’orpaillage clandestin. « L’orpaillage détruit les ressources minières de la Côte d’Ivoire et la terre réservée à l’agriculture. C’est un réel fléau qu’il faut combattre », a-t-il ajouté.
Le directeur général de l’administration du territoire, Ibrahima Bayo, s’est félicité du succès de cette formation initiée par ses services au profit de ces nouveaux collaborateurs. « Le but était de mettre les nouveaux sous préfet à l’aise pour être sûr le terrain, leur donner les armes pour répondre aux attentes des populations et en même temps aux attentes du gouvernement », a-t-il déclaré.
Il a émis le vœu que ces nouveaux représentants du gouvernement « profitent au maximum de ceux qu’ils ont appris », pour que, « en plus de leur génie personnel, qu’ils soient aguerris au profit de leurs populations ».
Durant ces 4 jours de formation, les sous-préfets ont été instruits 9 modules, relatifs aux principes fondamentaux de la gestion des Circonscriptions Administratives, au rôle de l’Autorité Préfectorale dans le processus électoral, à la Rédaction Administrative, la Déontologie et responsabilité administrative, au rôle de l’Autorité Préfectorale dans la mise en œuvre de la politique foncière, à la Mutuelle Sociale des Membres du Corps Préfectoral, à la gestion des conflits, au développement communautaire et au salut militaire.
PR
Représentant le ministre de l’intérieur et de la Sécurité, Vagondo Diomandé à la clôture de cette formation, le 24 juin dernier, le directeur de cabinet Benjamin Effoly a invité les sous-préfets à s’impliquer davantage dans le renseignement et la remontée de l’information, pour participer à endiguer le phénomène du terrorisme qui sévit dans les contrées africaines.
« La Côte d’Ivoire a besoin d’être sécurisée. Les autorités administratives qui ont un maillage territorial parfait ne peuvent pas être en reste en tant que représentant de l’Etat. C’est pour cela je leur ai demandé de s’impliquer dans la recherche d’informations, dans le renseignement afin de pouvoir informer à temps leur hiérarchie », a déclaré Benjamin Effoly.
M. Effoly a aussi instruit ces autorités administratives, à travailler à estomper l’orpaillage clandestin. « L’orpaillage détruit les ressources minières de la Côte d’Ivoire et la terre réservée à l’agriculture. C’est un réel fléau qu’il faut combattre », a-t-il ajouté.
Le directeur général de l’administration du territoire, Ibrahima Bayo, s’est félicité du succès de cette formation initiée par ses services au profit de ces nouveaux collaborateurs. « Le but était de mettre les nouveaux sous préfet à l’aise pour être sûr le terrain, leur donner les armes pour répondre aux attentes des populations et en même temps aux attentes du gouvernement », a-t-il déclaré.
Il a émis le vœu que ces nouveaux représentants du gouvernement « profitent au maximum de ceux qu’ils ont appris », pour que, « en plus de leur génie personnel, qu’ils soient aguerris au profit de leurs populations ».
Durant ces 4 jours de formation, les sous-préfets ont été instruits 9 modules, relatifs aux principes fondamentaux de la gestion des Circonscriptions Administratives, au rôle de l’Autorité Préfectorale dans le processus électoral, à la Rédaction Administrative, la Déontologie et responsabilité administrative, au rôle de l’Autorité Préfectorale dans la mise en œuvre de la politique foncière, à la Mutuelle Sociale des Membres du Corps Préfectoral, à la gestion des conflits, au développement communautaire et au salut militaire.
PR
