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Société Publié le mercredi 29 septembre 2021 | AIP

Des acteurs de la filière avicole bénéficient d’un renforcement technique à Odienné

© AIP Par JB
Actions sociales / RDR: le secrétariat générale charge de la solidarité visite une ferme avicole destinée aux handicapés
Mercredi 29 juillet 2015. Abidjan. Madame Maferima Diarrassouba, Secrétaire Général Adjoint du RDR chargée de la Solidarité a effectué une visite de contrôle d’un projet de ferme avicole mise à la disposition de la commune de Yopougon -Diopodoume. Ce projet a été mis en œuvre et supervisé par le maire Tuo Justin cadre du RDR.

Odienné - Des acteurs de la filière avicole de la zone Nord-Ouest du pays ont bénéficié d’un renforcement en matière de techniques d’élevage, dans le cadre des interventions d’appui au développement des différents secteurs qu’apporte le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricoles.


Des éleveurs de poules pondeuses et/ou de poulets de chair, venus des régions du Bafing, du Folon et du Kabadougou, ont pris part à la session de formation, déroulée en partenariat avec l’Inter profession avicole ivoirienne (IPRAVI).


Selon le premier vice-président de l’IPRAVI, Sindou Fofana, il s’agissait de combler une insuffisance mis à jour à l’issue d’un diagnostic. Ce tour d’horizon ayant révélé un besoin en renforcement technique des éleveurs de poulets de cette zone du pays, où l’engouement autour de l’activité va croissant. Notamment à Odienné, où depuis 2016 l’on est passé d’une dizaine d’acteurs à plus de 70 aujourd’hui.


La formation, débutée lundi, à Odienné, prendra fin vendredi. Les participants apprendront notamment les gestes pour la bonne conduite d’une bande de pondeuses et de poulets de chairs. Aussi comment construire le bâtiment approprié, comment préparer la réception des poussins, comment alimenter leurs volailles et surtout comment les soigner.


« Nous savons qu’ils ne sont pas tous passés forcément par une école de formation en aviculture. La plupart du temps ce sont de jeunes entrepreneurs. Des personnes qui ont eu un peu d’argent et qui se lancent dans l’activité. Il s’agit de les accompagner afin de leur permettre de réussir », a fait comprendre M Fofana, faisant valoir la recherche de la qualité, avec des poulets sains et propres à la consommation, qui doit accompagner l’objectif de satisfaction du besoin national. Un challenge aujourd’hui pour l’IPRAVI, selon lui, depuis les mesures de protections édictées par le gouvernement au profit de la filière.


kg/ask

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