Ibrahima Danso est le nouveau président du Groupement professionnel des miniers de Côte d’Ivoire (GPMCI). Il a été élu vendredi 29 juin 2018 à Abidjan, au terme de la deuxième Assemblée générale mixte de cette organisation.
Tout en appelant les acteurs du minier au rassemblement, Ibrahima Danso a placé son mandant de deux ans (2018-2020) sous le sceau d’un changement d’image des populations vis-à-vis de l’industrie minière. « Aujourd’hui encore les gens s’imaginent que la préservation de l’environnement ne nous intéresse pas, que le développement communautaire ne nous intéresse pas. Alors que les choses ont beaucoup changé, c’est complètement une révolution qui s’est produite. Aujourd’hui les miniers sont tout aussi soucieux du développement communautaire que de la préservation de l’environnement. Mais cela ne se sait pas assez », a relevé Ibrahima Danso. Il envisage donc plus d’efforts d’information de l’opinion publique. Pour lui, « il faut que les populations mesurent nos succès par le succès des communautés. Si nos populations sont pauvres, nous ne pouvons pas parler de succès de nos opérations ».
Le mandat de M. Danso se fonde sur quatre grandes orientions : continuer la communication pour changer l’image que cette industrie a en Côte d’Ivoire, créer l’unité au sein de l’industrie minière, développer les services au sein des entreprises membres du GPMCI, et en terme de solutions au chômage des jeunes, faire en sorte que la formation des jeunes qui sortent de l’université soit plus en adéquation avec les emplois dans le secteur minier.
Cette deuxième Assemblée générale mixte du GPMCI, notons-le, a permis la révision des textes de l’organisation, à travers la redéfinition des rôles des anciens présidents, des vice-présidents ainsi que ceux du Directeur exécutif.
Créé en 2008 avec comme objectif principal de protéger et défendre les intérêts des compagnies minières installées en Côte d’Ivoire, le GPMCI œuvre pour la promotion d’une industrie minière durable auprès de l’ensemble des parties prenantes notamment l’État ivoirien et les communautés.
D.Tagro
Tout en appelant les acteurs du minier au rassemblement, Ibrahima Danso a placé son mandant de deux ans (2018-2020) sous le sceau d’un changement d’image des populations vis-à-vis de l’industrie minière. « Aujourd’hui encore les gens s’imaginent que la préservation de l’environnement ne nous intéresse pas, que le développement communautaire ne nous intéresse pas. Alors que les choses ont beaucoup changé, c’est complètement une révolution qui s’est produite. Aujourd’hui les miniers sont tout aussi soucieux du développement communautaire que de la préservation de l’environnement. Mais cela ne se sait pas assez », a relevé Ibrahima Danso. Il envisage donc plus d’efforts d’information de l’opinion publique. Pour lui, « il faut que les populations mesurent nos succès par le succès des communautés. Si nos populations sont pauvres, nous ne pouvons pas parler de succès de nos opérations ».
Le mandat de M. Danso se fonde sur quatre grandes orientions : continuer la communication pour changer l’image que cette industrie a en Côte d’Ivoire, créer l’unité au sein de l’industrie minière, développer les services au sein des entreprises membres du GPMCI, et en terme de solutions au chômage des jeunes, faire en sorte que la formation des jeunes qui sortent de l’université soit plus en adéquation avec les emplois dans le secteur minier.
Cette deuxième Assemblée générale mixte du GPMCI, notons-le, a permis la révision des textes de l’organisation, à travers la redéfinition des rôles des anciens présidents, des vice-présidents ainsi que ceux du Directeur exécutif.
Créé en 2008 avec comme objectif principal de protéger et défendre les intérêts des compagnies minières installées en Côte d’Ivoire, le GPMCI œuvre pour la promotion d’une industrie minière durable auprès de l’ensemble des parties prenantes notamment l’État ivoirien et les communautés.
D.Tagro
