Agboville- Les agents techniques du ministère de l’Agriculture qui observent un arrêt de travail depuis le 4 juin, pour revendiquer de meilleures conditions de vie et de travail, ont rendu mercredi, à leur direction régionale d’Agboville, les engins à deux roues dont ils ont été dotés pour le service.
Selon le secrétaire général du Syndicat national des techniciens d’agronomie de Côte d’Ivoire (SYNATACI), Tersia Tchetcho, cette opération obéit à une suite logique dans la mesure où il n’est pas normal pour le personnel en grève sur l’ensemble du territoire national, de continuer à détenir le matériel de travail.
En plus, il s’agit, a-t-il poursuivi, d’amener les interlocuteurs à la table de discussion qui n’a jamais eu lieu entre la tutelle et les grévistes. De sorte que ces derniers sont entrés dans une phase de grève illimitée.
Cette grève dont l’objet principal est la finalisation du projet de décret portant paiement d’indemnités de risques aux agents techniques du ministère de l’agriculture, impacte négativement les enquêtes foncières, les litiges fonciers et autres opérations de délimitation des terroirs villageois.
Tout en considérant certains engins hors d’usage, les 800 techniciens du ministère devaient rendre au minimum 500 motos dans les 31 régions du pays, selon les responsables du SYNATACI.
yy/fmo
Selon le secrétaire général du Syndicat national des techniciens d’agronomie de Côte d’Ivoire (SYNATACI), Tersia Tchetcho, cette opération obéit à une suite logique dans la mesure où il n’est pas normal pour le personnel en grève sur l’ensemble du territoire national, de continuer à détenir le matériel de travail.
En plus, il s’agit, a-t-il poursuivi, d’amener les interlocuteurs à la table de discussion qui n’a jamais eu lieu entre la tutelle et les grévistes. De sorte que ces derniers sont entrés dans une phase de grève illimitée.
Cette grève dont l’objet principal est la finalisation du projet de décret portant paiement d’indemnités de risques aux agents techniques du ministère de l’agriculture, impacte négativement les enquêtes foncières, les litiges fonciers et autres opérations de délimitation des terroirs villageois.
Tout en considérant certains engins hors d’usage, les 800 techniciens du ministère devaient rendre au minimum 500 motos dans les 31 régions du pays, selon les responsables du SYNATACI.
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