Abidjan- La championne olympique en titre du marathon, la Kényane Jemima Sumgong, a été suspendue huit ans pour avoir tenté d'entraver l'enquête sur un contrôle positif à l'EPO, en mentant et fournissant de faux documents, a indiqué vendredi l'Unité d'intégrité de l'athlétisme (AIU).
Sumgong, première championne olympique kényane du marathon grâce à sa victoire aux JO de Rio en 2016, selon l’AFP, avait été contrôlée positive à l'EPO hors compétition cinq mois après son sacre, ce qui lui avait valu une suspension de quatre ans.
Saisi par l'AIU, le tribunal disciplinaire de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) a estimé que Sumgong avait, durant l'enquête sur son contrôle positif, menti et utilisé de faux documents à propos d'un traitement reçu dans un hôpital pour tenter d'expliquer la présence d'EPO dans son organisme.
Sumgong avait déjà été condamnée à deux ans de suspension, condamnation ramenée à un an en appel, dans une première affaire de dopage en 2012 pour la prise de Prednisolone, un stéroïde interdit. Elle peut faire appel devant le Tribunal arbitral du sport (TAS).
kam
Sumgong, première championne olympique kényane du marathon grâce à sa victoire aux JO de Rio en 2016, selon l’AFP, avait été contrôlée positive à l'EPO hors compétition cinq mois après son sacre, ce qui lui avait valu une suspension de quatre ans.
Saisi par l'AIU, le tribunal disciplinaire de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) a estimé que Sumgong avait, durant l'enquête sur son contrôle positif, menti et utilisé de faux documents à propos d'un traitement reçu dans un hôpital pour tenter d'expliquer la présence d'EPO dans son organisme.
Sumgong avait déjà été condamnée à deux ans de suspension, condamnation ramenée à un an en appel, dans une première affaire de dopage en 2012 pour la prise de Prednisolone, un stéroïde interdit. Elle peut faire appel devant le Tribunal arbitral du sport (TAS).
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