Evalués à au moins 90 000 tonnes en Côte d’Ivoire, ces rebuts alimentent une économie informelle opaque, en même temps qu’ils menacent l’environnement et la santé publique. Le gouvernement a décidé d’agir.
Marcory-Anoumabo. Sur 26 000 m2, face à la lagune Ebrié, des montagnes de vieux réfrigérateurs, de postes de télévision, d’ordinateurs, de climatiseurs ou d’imprimantes hors d’âge s’entassent. Dans cet immense capharnaüm fait de bric et de broc, une nuée d’individus tels des fouille-poubelles s’échinent à démanteler ces appareils pour leur donner une seconde vie.
Adama est présent sur ce site depuis 2009. « Certains les appellent les déchets de la honte. Mais pour moi, c’est une source de vie. Je tire mes revenus du démantèlement... suite de l'article sur Fraternité Matin
Marcory-Anoumabo. Sur 26 000 m2, face à la lagune Ebrié, des montagnes de vieux réfrigérateurs, de postes de télévision, d’ordinateurs, de climatiseurs ou d’imprimantes hors d’âge s’entassent. Dans cet immense capharnaüm fait de bric et de broc, une nuée d’individus tels des fouille-poubelles s’échinent à démanteler ces appareils pour leur donner une seconde vie.
Adama est présent sur ce site depuis 2009. « Certains les appellent les déchets de la honte. Mais pour moi, c’est une source de vie. Je tire mes revenus du démantèlement... suite de l'article sur Fraternité Matin