Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman, a inauguré la mosquée centrale de Taabo entièrement rénovée, disposant d’une école coranique, du matériel de sonorisation, des latrines modernes et des brasseurs d‘air.
« Nos parents musulmans m’ont sollicité pour rénover seulement les latrines, pour un montant de trois millions FCFA. J’ai décidé, sous proposition de certains amis et avec leur soutien, de réhabiliter toute la mosquée, afin d’offrir un grand confort à tous les croyants qui la fréquentent », a relevé vendredi, M. Bandaman, s’abstenant de donner le coût de la réalisation « parce que c’est une œuvre de foi ».
Par cette action, Maurice Bandaman entend saluer et renforcer également le dialogue des cultures entre les diverses communautés religieuses de Taabo.
Il a souhaité que les lieux de rassemblement pour la paix se multiplient. « Aucune de nos religions ne fait la promotion de la haine, du mensonge et de la maltraitance. Que les lieux où on invoque Dieu ne soient pas des lieux où on incite à la haine, où on incite à la division, où on incite à la violence, où on incite à la guerre. Les lieux de prières ne doivent pas être des lieux d’exclusion », a-t-il désiré.
Pour sa part, le représentant du Conseil supérieur des imams (COSIM), Cissé Djiguiba, a souligné que la mosquée est un lieu de prévention des conflits, un point de sympathie entre les peuples. Il a demandé aux fidèles de faire en sorte que la mosquée soit très bien entretenue.
En plus de la réhabilitation intégrale et de son équipement, une clôture a été construite pour « renforcer la sécurité de l’édifice et permettre aux musulmans de Taabo de prier dans la quiétude ».
Construite en 1984, cette mosquée d’environ 1.200 places était dans un état de délabrement avancé.
(AIP)
ena/fmo
« Nos parents musulmans m’ont sollicité pour rénover seulement les latrines, pour un montant de trois millions FCFA. J’ai décidé, sous proposition de certains amis et avec leur soutien, de réhabiliter toute la mosquée, afin d’offrir un grand confort à tous les croyants qui la fréquentent », a relevé vendredi, M. Bandaman, s’abstenant de donner le coût de la réalisation « parce que c’est une œuvre de foi ».
Par cette action, Maurice Bandaman entend saluer et renforcer également le dialogue des cultures entre les diverses communautés religieuses de Taabo.
Il a souhaité que les lieux de rassemblement pour la paix se multiplient. « Aucune de nos religions ne fait la promotion de la haine, du mensonge et de la maltraitance. Que les lieux où on invoque Dieu ne soient pas des lieux où on incite à la haine, où on incite à la division, où on incite à la violence, où on incite à la guerre. Les lieux de prières ne doivent pas être des lieux d’exclusion », a-t-il désiré.
Pour sa part, le représentant du Conseil supérieur des imams (COSIM), Cissé Djiguiba, a souligné que la mosquée est un lieu de prévention des conflits, un point de sympathie entre les peuples. Il a demandé aux fidèles de faire en sorte que la mosquée soit très bien entretenue.
En plus de la réhabilitation intégrale et de son équipement, une clôture a été construite pour « renforcer la sécurité de l’édifice et permettre aux musulmans de Taabo de prier dans la quiétude ».
Construite en 1984, cette mosquée d’environ 1.200 places était dans un état de délabrement avancé.
(AIP)
ena/fmo
