Abengourou, Le chef du cantonnement des eaux et forêt d’Abengourou, capitaine Koné Zogbeu Joachim, et ses collaborateurs (chefs de postes) se sont réunis vendredi à Aniassué (25km au sud d’Abengourou) pour dresser le bilan d’un an d’activités depuis sa prise de service le 12 juin 2018.
Il ressort de ce bilan, jugé « largement satisfaisant », que les patrouilles effectuées dans les forêts ont permis de saisir 3300 planches, 720 madriers et 1560 chevrons issus du sillage à façon. Toutes ces saisies ont fait l’objet de procès-verbaux (PV). « Nous avons dressé à ce jour 53 PV contre le sillage à façon uniquement au niveau du cantonnement siège », a relevé le capitaine Koné Zogbeu.
Ce bilan fait également état de deux procès-verbaux dressés contre l’orpaillage clandestin. « En plus du sillage à façon, qui constitue une véritable gangrène pour la forêt ivoirienne, nous luttons contre l’orpaillage clandestin qui détruit nos berges, nos rivières et tue nos poissons dans l’eau. Deux PV ont été dressés contre ce phénomène et leurs auteurs ont été traduit en justice, jugés et condamnés », a indiqué l’officier des eaux et forêts.
Ce dernier a également indiqué qu’en un an d’activités, ils ont pu redynamiser les comités villageois de lutte contre les feux de brousse avec lesquels ils travaillent « en parfaite synergie ». Le cantonnement forestier d’Abengourou, qui a fait du reboisement son cheval de bataille, a, selon son chef, produit 20 000 plants de tecks et plusieurs essences locales, notamment, le tiama, l’iroko, le framiré et l’acajou.
Créé depuis les années 1980, le cantonnement forestier d’Abengourou compte à ce jour six postes forestiers installés dans les chefs-lieux de sous-préfecture de Zaranou, Amélékia, Yakassé-Féyassé, Aniassué, Ebilassokro et Niablé.
(AIP)
rkk
Il ressort de ce bilan, jugé « largement satisfaisant », que les patrouilles effectuées dans les forêts ont permis de saisir 3300 planches, 720 madriers et 1560 chevrons issus du sillage à façon. Toutes ces saisies ont fait l’objet de procès-verbaux (PV). « Nous avons dressé à ce jour 53 PV contre le sillage à façon uniquement au niveau du cantonnement siège », a relevé le capitaine Koné Zogbeu.
Ce bilan fait également état de deux procès-verbaux dressés contre l’orpaillage clandestin. « En plus du sillage à façon, qui constitue une véritable gangrène pour la forêt ivoirienne, nous luttons contre l’orpaillage clandestin qui détruit nos berges, nos rivières et tue nos poissons dans l’eau. Deux PV ont été dressés contre ce phénomène et leurs auteurs ont été traduit en justice, jugés et condamnés », a indiqué l’officier des eaux et forêts.
Ce dernier a également indiqué qu’en un an d’activités, ils ont pu redynamiser les comités villageois de lutte contre les feux de brousse avec lesquels ils travaillent « en parfaite synergie ». Le cantonnement forestier d’Abengourou, qui a fait du reboisement son cheval de bataille, a, selon son chef, produit 20 000 plants de tecks et plusieurs essences locales, notamment, le tiama, l’iroko, le framiré et l’acajou.
Créé depuis les années 1980, le cantonnement forestier d’Abengourou compte à ce jour six postes forestiers installés dans les chefs-lieux de sous-préfecture de Zaranou, Amélékia, Yakassé-Féyassé, Aniassué, Ebilassokro et Niablé.
(AIP)
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