Abidjan, De jeunes dirigeants africains ont décidé mercredi à Abidjan de s'engager pour l'égalité des sexes et la promotion des droits des femmes et des filles au moment où le monde se prépare pour l'examen des 25 ans de la mise en oeuvre de la déclaration du Programme d'action de Beijin,
Cette décision a été prise par une centaine de jeunes leaders de tout le continent africain et de la diaspora, au terme d'une consultation régionale des jeunes femmes africaines sur Beijing +25 organisée à Abidjan.
" Les jeunes africains exigent de faire partie du processus de prise de décision sur les questions qui les concernent. Aujourd'hui plus que jamais, les jeunes femmes et hommes doivent s'unir pour une Afrique véritablement égalitaire", a indiqué une jeune femme leader du Cap Vert, Sonia Sem Edo Mendes, au cours d'une conférence, marquant la fin de cette réunion.
Selon elle, en Afrique, aucun pays n'ayant atteint l'égalité des sexes, il est important que la jeunesse africaine unie se mobilise pour faire entendre sa voix en vue de rattraper l'écart entre les hommes et les femmes qui continue de se creuser tout en mettant fin aux violences faites aux femmes.
Pour sa part, un jeune leader du Nigeria, Prince Aketeye, a appelé les leaders traditionnels et culturels à s'impliquer dans la prévention contre la violence et les abus envers les femmes et les filles, surtout le mariages forcés des enfants.
L'année 1995 a été un moment critique pour la position du monde sur l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes, qui a débouché sur l'adoption de la Déclaration et du Programme d'action de Beijing lors de la quatrième Conférence sur les femmes, tenue à Beijing en Chine. Les recommandations de la Conférence ont été de transformer la vie des femmes à travers le monde en mettant en oeuvre des politiques réformées appelant à mettre fin à la marginalisation des femmes, rappelle t on.
(AIP)
tg/ask
Cette décision a été prise par une centaine de jeunes leaders de tout le continent africain et de la diaspora, au terme d'une consultation régionale des jeunes femmes africaines sur Beijing +25 organisée à Abidjan.
" Les jeunes africains exigent de faire partie du processus de prise de décision sur les questions qui les concernent. Aujourd'hui plus que jamais, les jeunes femmes et hommes doivent s'unir pour une Afrique véritablement égalitaire", a indiqué une jeune femme leader du Cap Vert, Sonia Sem Edo Mendes, au cours d'une conférence, marquant la fin de cette réunion.
Selon elle, en Afrique, aucun pays n'ayant atteint l'égalité des sexes, il est important que la jeunesse africaine unie se mobilise pour faire entendre sa voix en vue de rattraper l'écart entre les hommes et les femmes qui continue de se creuser tout en mettant fin aux violences faites aux femmes.
Pour sa part, un jeune leader du Nigeria, Prince Aketeye, a appelé les leaders traditionnels et culturels à s'impliquer dans la prévention contre la violence et les abus envers les femmes et les filles, surtout le mariages forcés des enfants.
L'année 1995 a été un moment critique pour la position du monde sur l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes, qui a débouché sur l'adoption de la Déclaration et du Programme d'action de Beijing lors de la quatrième Conférence sur les femmes, tenue à Beijing en Chine. Les recommandations de la Conférence ont été de transformer la vie des femmes à travers le monde en mettant en oeuvre des politiques réformées appelant à mettre fin à la marginalisation des femmes, rappelle t on.
(AIP)
tg/ask
