Abidjan- La secrétaire d’Etat en charge de l’Autonomisation de la femme, Myss Belmonde Dogo, a échangé, mercredi, avec les femmes du secteur du vivrier (coopératives agricoles féminines) et les femmes « agripreneuses » (femme entreprenant dans le milieu agricole).
Lors de cette rencontre qui visait à instaurer un cadre d’échanges avec toutes les actrices de développement et recueillir leurs préoccupations, en vue de planifier des solutions idoines, Myss Belmonde Dogo, a rassuré ses interlocutrices sur sa détermination à donner plus de visibilité et de lisibilité à la problématique de l’autonomisation de la femme.
« J’ai été portée à la tête de ce département avec une mission bien claire. Celle de permettre aux femmes de tirer le meilleur profit de leurs différentes activités, en créant les conditions d’une meilleure organisation des groupements, en contribuant au renforcement de leur capacité financière et technique. Ma vision est de faire passer les femmes de l’économie de subsistance à une économie plus solide, car les femmes doivent prendre toute leur place dans le développement du pays», a-t-elle indiqué.
Cette rencontre, qui a eu lieu à Abidjan-plateau, marque le début d’une série d’échanges avec les femmes issues de différents secteurs d’activités afin de créer des synergies pour une amélioration des activités, à l’effet de favoriser l’autonomisation de la femme.
Outre les femmes du vivrier, celles des ONG œuvrant dans le domaine de l’autonomisation économique, sociale et juridique de la femme, ainsi que celles de la Fédération ivoirienne de petite et moyenne entreprise (FIPME) et de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), sont aussi attendues à ces rencontres qui s’étendront sur deux jours, apprend-on.
ako/fmo
Lors de cette rencontre qui visait à instaurer un cadre d’échanges avec toutes les actrices de développement et recueillir leurs préoccupations, en vue de planifier des solutions idoines, Myss Belmonde Dogo, a rassuré ses interlocutrices sur sa détermination à donner plus de visibilité et de lisibilité à la problématique de l’autonomisation de la femme.
« J’ai été portée à la tête de ce département avec une mission bien claire. Celle de permettre aux femmes de tirer le meilleur profit de leurs différentes activités, en créant les conditions d’une meilleure organisation des groupements, en contribuant au renforcement de leur capacité financière et technique. Ma vision est de faire passer les femmes de l’économie de subsistance à une économie plus solide, car les femmes doivent prendre toute leur place dans le développement du pays», a-t-elle indiqué.
Cette rencontre, qui a eu lieu à Abidjan-plateau, marque le début d’une série d’échanges avec les femmes issues de différents secteurs d’activités afin de créer des synergies pour une amélioration des activités, à l’effet de favoriser l’autonomisation de la femme.
Outre les femmes du vivrier, celles des ONG œuvrant dans le domaine de l’autonomisation économique, sociale et juridique de la femme, ainsi que celles de la Fédération ivoirienne de petite et moyenne entreprise (FIPME) et de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), sont aussi attendues à ces rencontres qui s’étendront sur deux jours, apprend-on.
ako/fmo
