Abidjan- La deuxième édition de la journée mondiale des Martinets, une espèce d'oiseaux, a été célébrée dimanche dans divers pays du monde au regard du succès de la première édition, qui a eu lieu en 2019, dans 39 pays des quatre coins du monde, avec 110 événements « physiques » et des centaines de publications (dans les médias tant « traditionnels » que sociaux), et générant des milliers de réactions enthousiastes.
Une dizaine d’espèces de Martinets ont été plus spécifiquement mises en exergue lors de la première édition.
Les martinets sont des oiseaux fascinants mais méconnus et menacés. En lançant la Journée mondiale des martinets (JMM), Martinets Sans Frontières espère braquer les projecteurs sur les martinets et ainsi attirer l’attention des médias, du grand public, des associations de protection de la biodiversité, des autorités et des professionnels du bâtiment.
Les martinets passent l'entièreté de leur vie en vol : ils mangent, boivent, dorment, se toilettent, s’accouplent dans le ciel. Ils ne se posent que pour se reproduire. Dans l’hémisphère Sud, ces oiseaux sont quasiment inconnus bien qu’ils y passent neuf mois par an.
Dans l’hémisphère Nord, au début du mois de mai, ils quittent les cieux pour venir couver dans les cavités des bâtiments urbains. Un mode de vie qui s’accommode mal de nos pratiques actuelles de rénovation et de construction.
La coordinatrice bénévole du groupe de travail Martinets de Natagora et fondatrice de Martinets sans Frontières, Martine Wauters, explique : "Plusieurs espèces de martinets font l’objet d’études depuis des décennies et de nombreux groupes et associations œuvrent pour leur défense. D’autres, en revanche, restent largement méconnues".
Et d'ajouter, "nous espérons que la Journée mondiale des martinets contribuera à susciter des vocations de par le monde, à inciter des chercheurs et des citoyens à accroître les connaissances sur l’ensemble des 96 espèces, et à attirer les projecteurs sur cet oiseau méconnu. Et, par là-même, à renforcer leur protection."
ask
Une dizaine d’espèces de Martinets ont été plus spécifiquement mises en exergue lors de la première édition.
Les martinets sont des oiseaux fascinants mais méconnus et menacés. En lançant la Journée mondiale des martinets (JMM), Martinets Sans Frontières espère braquer les projecteurs sur les martinets et ainsi attirer l’attention des médias, du grand public, des associations de protection de la biodiversité, des autorités et des professionnels du bâtiment.
Les martinets passent l'entièreté de leur vie en vol : ils mangent, boivent, dorment, se toilettent, s’accouplent dans le ciel. Ils ne se posent que pour se reproduire. Dans l’hémisphère Sud, ces oiseaux sont quasiment inconnus bien qu’ils y passent neuf mois par an.
Dans l’hémisphère Nord, au début du mois de mai, ils quittent les cieux pour venir couver dans les cavités des bâtiments urbains. Un mode de vie qui s’accommode mal de nos pratiques actuelles de rénovation et de construction.
La coordinatrice bénévole du groupe de travail Martinets de Natagora et fondatrice de Martinets sans Frontières, Martine Wauters, explique : "Plusieurs espèces de martinets font l’objet d’études depuis des décennies et de nombreux groupes et associations œuvrent pour leur défense. D’autres, en revanche, restent largement méconnues".
Et d'ajouter, "nous espérons que la Journée mondiale des martinets contribuera à susciter des vocations de par le monde, à inciter des chercheurs et des citoyens à accroître les connaissances sur l’ensemble des 96 espèces, et à attirer les projecteurs sur cet oiseau méconnu. Et, par là-même, à renforcer leur protection."
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